Date d'inscription : 05/10/2014 Messages : 24 Pseudo/Prénom : pain d'ep. Avatar : louis tomlinson. Crédits : (avatar) sweet disaster. Âge : vingt-cinq ans. Études/Métier : infirmier.
Sujet: GABRIEL ❞ i'm in love with you... and all your little things Dim 5 Oct - 19:51
Gabriel Sage Grayson
« I wish I was beside you... »
NOM : Grayson. PRENOM(S) : Gabriel Sage. DATE DE NAISSANCE : 23 avril 1989. LIEU DE NAISSANCE : Dillon, Texas, USA.ORIGINE : Américaine et Irlandaise. NATIONALITÉ : Américain. MÉTIER/ETUDE : Infirmier. GROUPE : I know what is a touchdown. AVATAR : Louis Tomlinson. QUALITÉS : Généreux, sociable, souriant, intelligent, droit, honnête. DÉFAUTS : Têtu, trop protecteur, légèrement impulsif, bordélique, parfois colérique.
PRENOM : Estelle. AGE : 21yo. COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : Bazzart, mon ami. CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : juste de nom, je n'ai jamais regarder. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : tout viens de ma petite tête. UN PETIT MOT : .
Pain d'Ep
Dernière édition par Gabriel S. Grayson le Mer 8 Oct - 2:02, édité 1 fois
Date d'inscription : 05/10/2014 Messages : 24 Pseudo/Prénom : pain d'ep. Avatar : louis tomlinson. Crédits : (avatar) sweet disaster. Âge : vingt-cinq ans. Études/Métier : infirmier.
Sujet: Re: GABRIEL ❞ i'm in love with you... and all your little things Dim 5 Oct - 19:51
the story of my life
« citation qui va bien ici même »
« Gabriel ? Tu sais pourquoi Papa il est jamais à la maison ? » Malèa. Petite blondinette âgée de quatre ans. Ma petite sœur. Mon petit trésor. Comme tout les soirs, maman l’as couchée dans son lit, mais dès que cette dernière à le dos tourner, elle vient me rejoindre dans ma chambre. Elle toque à la porte, passe sa petite tête par l’entrebâillement et vient rapidement ce faufiler sous ma couette. A quatre ans, elle n’aime pas dormir seule. Alors elle me rejoint et finit par s’endormir avec moi. Mais ce soir, c’est bien la première fois qu’elle me demande pourquoi papa n’est jamais là. Je ne sais pas trop quoi lui répondre. A six ans, seulement, j’ai compris. Mon père ne voulait pas s’occuper des enfants, ils trouvaient que c’était une perte de temps, tout ce qui comptait à ses yeux était sa compagnie immobilière. Et surtout, je ne correspondais pas parfaitement à l’image du fils parfait. Certes, je fais du sport, j’ai une ribambelle d’amis tous aussi riche que moi et je ramène de bonnes notes, mais malgré mon jeune âge je me rebelle déjà. Je ne vais jamais voir mon père, je dis déjà que quand je serais grand je voudrais être journaliste ou encore professeur de lettre. Pas vraiment le futur que mon très cher paternel avait prévu pour moi. Il rêve de voir son fils régner sur la cours de l’école et bientôt sur Dillon. Je veux bien accéder à sa première requête, mais jamais à la deuxième. Mais comment expliquer cela à une petite fille ? « Il travaille beaucoup c’est pour ça Maé. » lui répondis-je tendrement. Elle finit par attraper son doudou et le serre bien fort contre elle tandis que je remonte la couverture vers nous. « Moi je crois que papa, bah il nous aime pas. » Sa petite voix est plus sérieuse que jamais. Et ça fait mal. Ca fait de mal de voir que elle aussi elle a compris. Elle est trop petite pour ce rende compte de cette réalité et pourtant… Elle a compris que nous ne saurons jamais rien aux yeux de notre paternel…
Allonger dans mon lit, je me mords la lèvre jusqu'au sang pour être sur que personne n'entende mes sanglots. Je n'arrive pas à m'arrêter de pleurer. Pourtant ca n'as jamais été mon genre de me laisser aller comme cela, mais aujourd'hui à sans aucun doute été la pire journée de ma courte vie. Pour la première fois depuis longtemps je n'ai absolument rien contrôlé et tout ce que j'avais construit c'est écrouler tel un vulgaire château de carte. J'entends la porte d'entrée claquée et seulement quelque seconde après on m'appelle : « GAB T'ES LA ? » Malèa. Je n'ai pas envie de lui répondre, pourtant je l'entends déjà monter les escaliers quatre par quatre. Elle est devant ma porte et entre sans même frapper. « Gabi... » Je déteste quand elle m'appelle comme cela, mais aujourd'hui je n'ai pas la force de la reprendre. Elle se précipite vers moi et pour la toute première fois c'est elle qui me prend dans ses bras et pas l'inverse. Je me laisse totalement aller dans les bras de ma petite sœur et pleurs comme jamais. « Ca va aller Gab. Je suis là... » Elle me berce pendant quelques minutes en ne cessant de me répéter que tout ira bien. Je finis par me calmer et renifle un peu avant de me relever. « Il m'as quitté... » « Je sais... Je sais tout frangin... » Alors comme ça toute la ville est déjà au courant ? Le fils Grayson est gay et le jour où il décide enfin d'assumer son amour pour un homme ce dernier préfère le quitter plutôt que de subir les moqueries des autres. Génial, non ? On était décidé... On est entré dans le Lycée main dans la main et je me sentais heureux. Mathis m'as même embrassé au milieu du couloir, il m’a souhaité une bonne journée et on a chacun été à notre premier cours de la matinée. Deux heures plus tard les rumeurs couraient déjà sur nous. Quatre heures plus tard il m'annonce dans le même couloir et devant tout un public qu'il me quitte. Tout cela avait juste été un stupide jeu pour lui. Il a prouvé à tout le monde que j'étais gay et maintenant il s'en va. Je croyais qu'il m'aimait... Il a été mon premier amour et en plus de m'avoir brisé le cœur il me laisse seul face aux moqueries des autres. Pourtant il est aussi gay que moi, je peux vous assurez qu'au lit c'était lui le plus demandeur. Mais voilà... Tout le monde a cru à sa petite histoire. Moi ? J'ai pas d'histoire à raconter. J'ai dix-sept ans mais je suis sûr d'une chose, j'aime les hommes. Et aujourd'hui ça fait vraiment mal. Parce qu'en plus d'avoir perdu mon petit ami, j'ai également perdu ma place dans l'équipe de foot. Visiblement avoir un gay dans l'équipe n'est pas très recommandé. Ce matin j'étais populaire et heureux, ce soir je suis la dernière des merdes.
Mon père a finis par apprendre pour mon homosexualité, bien sûr qu'on a été lui répéter cela. C'était une semaine après que Mathis m'es lâchement plaquer, j'avais enfin arrêté de pleurer tous les soirs et tout a basculé encore une fois... Mon paternel est rentré et il a hurlé mon nom. Ça ressemblait à un : « GABRIEL SAGE GRAYSON AU SALON. DE SUITE! » J'avais son attention pour la première fois depuis des mois, mais je m'en serais bien passé. Il m’a tout de suite demandé si j'étais vraiment gay et quand j'ai répondu par la positive il a explosé. Je ne l'avais jamais vu aussi énerver. Il a levé la main pour me gifler et c'est seulement après que la sentence est tombée. Il ne m’a pas laissé le choix, il m’a mis dehors. Cela fait trois jours et j'entends encore ses mots résonner en moi. « Je préfère mourir qu'avoir un fils gay. Je veux plus jamais te voir Gabriel. Tu es la honte de la famille. » Ma mère et ma sœur était là. J'ai fait signe à Malèa de se taire et comme toujours ma mère n'as rien dit. Je suis monté dans ma chambre, j'ai appelé mon meilleur ami, j'ai pris tout ce qui m'appartenait et j'ai descendu les escaliers presque en courant. Au dernier moment, j’ai fait demi tour et je me suis planter devant Malèa qui pleurait. « Je te laisserais pas avec lui. C'est toi et moi contre le reste du monde tu te souviens ? » Je l'ai jamais vu aussi soulager que ce soir là. Elle a mit ses affaires dans un sac en moins de cinq minutes et on est parti chez Noah sans ce retourner.
« Bordel Gab tu va pas bosser dans ce supermarché pour le reste de ta vie à la fin ! » Blasé, je lève les yeux vers Noah qui est à deux doigts de me hurler dessus. Cela fait désormais deux ans que j’habite chez lui avec ma sœur. Ses parents ont de suite accepté de nous héberger, ils connaissaient nos problèmes de familles et surtout ils ont le cœur sur la main. Je crois que je n’ai jamais vu des gens aussi adorable. J’ai pu finir le Lycée tant bien que mal grâce à eux, les rumeurs n’ont pas arrêté et je suis devenu quelqu’un de transparent, seul Noah m’es resté fidèle et je crois que je ne pourrais jamais assez le remercier pour être resté auprès de moi et pour m’avoir pris dans ses bras tout les soirs où je finissais par craquer sous la pression. J’ai eu des idées noires, plus d’une fois, mais je continuais à me lever chaque matin pour ma petite sœur. Après le Lycée, j’ai pris ce job de caissier et depuis un mois j’ai pu louer un appartement pour Malèa et moi. Sauf que comme Noah me le fais remarquer, je ne rêvais pas de cela il y a quelques années encore. « Et tu veux que je fasse quoi No ? Je peux pas rester éternellement chez tes parents, Malèa a besoin d’avoir un endroit à elle et je lui dois bien cela. J’ai pas de diplôme, c’est le seul métier que je peux faire, alors je le ferais le temps qu’il faudra. » « Je te jure si tu lis pas ça, je te frappe avec et je te le fais manger ce dossier. » me dit-il tout en me jetant son dossier sur le torse pour la troisième fois en deux jours. Il m’a trouvé des cours par correspondance pour passer le concours d’infirmier. J’ai toujours voulu faire cela. Personne ne c’est jamais occuper de moi, mais je veux pouvoir aider des gens qui en ont besoin. J’avais dix ans la première fois que j’ai exprimé l’envie de faire se métier, je l’ai rabâché un bon million de fois à Noah et il n’a jamais oublié. « Et je l’aiderais à le faire ! » Voilà que même ma petite sœur s’y met. « Tu vois Gab, même ta frangine est d’accord avec moi. Alors tu lève ton petit cul et tu appelle cette école. Dans une semaine je veux te voir en train de réviser sinon je me fâche. » Je sais parfaitement qu’il ne faut jamais déconner avec un Noah fâché, alors même si je ne suis pas convaincu de cela, je finis par appeler cette école. Qui ne tente rien n’as rien après tout.
« Gabriel j’aimerais te parler. Tu as cinq minutes ? » Il est rare que mon patron vienne me demander cela, alors je pose tout ce que j’ai dans les mains et lui sourit en hochant la tête. Il y a trois ans j’ai finis par obtenir mon diplôme d’infirmier, oui les menaces de Noah ont finit par fonctionner. J’ai eu du mal, on a eu des problèmes d’argent important avec Malèa, mais on c’est serrer les coudes et j’ai finis par obtenir un poste à l’hôpital de Dillon. Désormais je ne suis pas l’homosexuel que l’on pointe du doigt, je suis un infirmier respecté par ses collègues et ses patients. Pour la première fois depuis des années, j’ai l’impression que j’ai enfin le droit d’être heureux. Il manquerait juste un homme dans ma vie. Enfin. Mon patron. L’oncle de Noah pour être précis. Je le connais depuis que je suis petit et quand il a finis par savoir que je cherchais du travail, il a tout fait pour me trouver une place dans l’hôpital où il travaillait. Je lui en suis éternellement reconnaissant pour cela. Je finis par entrer dans son bureau et ferme la porte à sa demande. « Tu as déjà vu le patient de la 53 ? » Je réfléchis un instant et finis par répondre par la négative. Non ce patient ne me dit rien. « C’est un jeune homme de vingt ans, il a tenté de se suicider et depuis il ne parle plus à personne. J’aimerais que tu aille lui parler. » « Moi ? Mais pourquoi ? » « Il est homosexuel et c’est les brimades de ses camarades de Lycée et de facultés qui l’ont poussé à attenter à sa vie. Je sais que tu es passé par là toi aussi, Noah ce faisait beaucoup de souci pour toi à l’époque et il m’en avait parlé. Je me dis que tu es sans aucun doute le mieux placer pour parler à ce jeune homme. » « Nicolas… Je me suis caché pendant des années après ça. Je suis même sorti avec des filles pour faire taire les rumeurs. Je sais pas ce que je pourrais lui dire. » « Tu peux essayer au moins, non ? » Après un instant de réflexion, je finis par accepter. Je ne sais absolument pas ce que je vais dire à ce jeune homme, mais dans le fond son histoire me touche. Je dois bien pouvoir essayer de l’aider tout de même. Après tout c’est pour cela que j’ai décidé de faire ce métier.
Je frappe doucement à la porte et entre sans attendre de réponse. Le jeune Demyan est assis sur son lit, le regard perdu dans le vide. Pourtant il me remarque et lève les yeux vers moi. Je suis tout de suite frapper par l’intensité qui se dégage de ses prunelles vertes. Il est beau. Il est très beau. Il a l’air fragile aussi et cela me touche tout de suite. « Bonjour… » Aucune réponse. Je devais m’en douter. Je soupire un peu, mais me rapproche tout de même du jeune homme. Comment je vais bien pouvoir aborder le sujet ? J’hésite un instant et finis par opter par la solution qui m’est venu en premier : être franc. « Je sais ce que vous avez pu traverser et… Je prétends pas pouvoir apaiser vos peines, mais je sais ce que vous avez vécu, parce que je l’ai vécu moi aussi. Ca a été dur, mais j’ai finis par m’en sortir. » Je croise son regard et je comprends que j’ai capté son attention. Il ne parle pas, mais il m’incite à le faire. Alors je m’assois sur le bord de son lit et je lui balance toute mon histoire. Je crois que cela fait des années que je n’ai pas ressassé cela. J’ai mal au cœur et les mains qui tremblent, mais je finis mon petit discours. Quand je me concentre de nouveau sur Demyan, je remarque qu’il pleurs et cela me fait mal au cœur. Sans réfléchir, je pose ma main sur la sienne et lui souris tendrement. « Je sais que vous ne voulez pas parler, mais sachez que je suis là si vous avez besoin de vous confier. Je ne voulais pas voir de psy moi non plus, je devrais pas vous dire cela, mais je trouve cela totalement idiot d’aller voir un psy, comme si ça pouvait comprendre ce que l’on a vécu. Si un jour vous vous sentez prêt, je serais là pour vous écouter Demyan. Vous pouvez vous en sortir. Les gens ne vous jugerons plus une fois que vous vous serez relever je vous le promets. » Je crois que je ne me suis jamais autant impliquer auprès d’un patient en si peu de temps. Seulement une heure passer à ses côtés et j’ai déjà envie de le protéger. Il me rappelle moi à son âge, quand j’étais paumé, que j’étais à la rue et responsable de ma sœur, quand on ce moquait encore et toujours de moi. Aujourd’hui tout cela à cesser et je voudrais qu’il en soit de même pour lui. J’allais quitter la chambre lorsque Demyan attrape mon poignet et me tire vers lui pour me prendre dans ses bras. Cela dure un quart de seconde, mais je sais que dans le fond c’est sa façon de me dire merci.
Depuis je vais voir Demyan tous les jours, il ne parle toujours pas, mais en deux semaine il a repris du poids et des couleurs. Je lui parle tous les jours, de sa situation, de la vie de tous les jours. Je sais qu’un jour il va me parler. J’attends juste qu’il soit prêt pour cela. Je sais que je suis en train de faire une connerie, parce que je suis déjà trop impliquer avec Demyan. Mais voilà… Je crois qu’il m’a plut à la seconde où j’ai posé mes yeux sur lui et j’ai envie de le voir reprendre goût à la vie. Tout simplement.
Dernière édition par Gabriel S. Grayson le Mer 8 Oct - 1:56, édité 4 fois
Sujet: Re: GABRIEL ❞ i'm in love with you... and all your little things Lun 6 Oct - 20:26
Bienvenue sur LLT
N'empêche, j'ai trouvé ton avatar tellement craquant que j'suis passée en mode Google pour découvrir qu'il faisait partie des One Direction ! Ma nièce est raide dingue d'eux mais j'avais jamais remarqué que lui il était aussi hum... Bref. Je raconte ma vie, il suffit
Sujet: Re: GABRIEL ❞ i'm in love with you... and all your little things Mer 8 Oct - 13:10
Validation
« Bienvenue au Texas ! »
Bienvenuuuuuuue sur Long Live texas
Tout d'abord félicitations, tu as passé avec succès l'étape la plus importante (et parfois la plus enquiquinante), celle de la fiche de présentation Tu es maintenant validé(e), et tu vas donc pouvoir prendre part à la vie du forum Il va falloir recenser ton avatar par ici (attention si tu l'as réservé pendant ta fiche, il faut quand même repasser pour le "valider") afin de ne pas devoir changer de tête si jamais quelqu'un voudrait tenter le même avatar Tu peux également venir faire diverses demandes comme intégrer un club, recenser ton métier ou ton logement ! Tu pourras également contacter le staff si jamais tu souhaites changer ton avatar, ton personnage ou bien demander un nouveau compte Si tu désires créer un scénario ou des liens comme ta famille, tout se passe ici. Il ne faut pas non plus oublier la fiche de liens, attention c'est classé par sexe Sur LLT, tu as aussi la possibilité de te créer un journal intime, un téléphone ou encore un compte instagram Et enfin, tu peux te divertir par là ou exposer tes oeuvres d'art ici. Bon jeu sur LLT et amuse toi bien
Très bonne fiche, juste attention aux fautes qui pourraient partir à la relecture. L'histoire du personnage est vraiment bien exploitée, ça correspond pas mal avec la mentalité conservatrice de certains texans. Et le personnage en lui-même est attachant et sa relation avec ce Demyan promet. Même si moi c'est la petite sœur qui m'intéresse.