NOM : Jenkins. Nom hériter de son paternel, partager avec le reste de sa nombreuse-joyeuse tribu. Ou pardon, famille. PRENOM(S) : Alabama comme premier prénom, vous remarquerez que chaque enfant Jenkins porte le nom d'un état des USA. Bien évidemment, une petite histoire se cache là dessous. Gypsy pour le second simplement parce que ses parents étaient et sont des hippies refoulés. Enfin, Rose pour une pointe de douceur et aussi pour rendre hommage à sa grand-mère maternelle, décédée quelques jours avant sa naissance. DATE DE NAISSANCE : 22 Juillet 1997. LIEU DE NAISSANCE : Addison, Alabama (USA). ORIGINE : américaine de pure souche par son père, elle a des origines amer-indiennes et irlandaises par sa mère. NATIONALITÉ : américaine. MÉTIER/ETUDE : lycéenne à plein temps et employée à mis-temps dans l'épicerie de la ville. GROUPE : Why they are running with ball in their hands ? AVATAR : maia mitchell.  QUALITÉS : douce, attachante, souriante, généreuse, serviable, attentionnée, attentive, fidèle, sincère, franche. DÉFAUTS : têtue, sarcastique, perfectionniste, lunatique, colérique, jalouse, impulsive, grande-gueule, rancunière.

Papa, t’es comme Superman, mais sans les collants. + Alabama Gypsy Rose Jenkins est venue au monde dans la petite ville d'Addison, en Alabama, d'où son prénom peu commun. Troisième enfant de Mark et Becky Jenkins qui avait eu la merveilleuse idée de nommer leurs enfants selon l'État dans lequel ils viendraient au monde elle arrivait donc après Indiana (Indy) de quatre ans son aînée et Arizona, de deux ans. Elle fut ensuite suivie de Louisiane (ou Louisie), plus jeune d'un an, puis de Jersey (pour le New Jersey) seul garçon de la fratrie et enfin de la petite dernière, Alaska. La famille a beaucoup voyager dans le pays à cause du travail de Mark, Pasteur venant en aide aux paroisses ayant besoin de rénovations en tous genres. Ils déménageaient presque chaque année quand les enfants étaient en bas âges, leurs parents avaient l'habitude de leur répéter que la "maison" se trouvait là où la famille était. Toute la petite tribu était très soudée les uns avec les autres et s'entendait toutes plus ou moins bien. La famille était évidemment très croyante et les enfants Jenkins étaient tellement appréciés dans chaque école dans lesquelles ils arrivaient que leurs camarades étaient beaucoup plus tristes qu'eux quand ils devaient repartir. Dès l'adolescence, le caractère des enfants Jenkins commença à se détecter. Tous avaient pris leur place dans la famille. Leur étiquette. Indy, la plus âgée était une vraie tête d'ampoule, toujours le nez fourré dans ses bouquins elle rêvait de venir chirurgien depuis son plus jeune âge. Arizona était une reine de beauté par excellence. Presque rien d'autres que ses cheveux, son maquillage et ses soins pour le corps ne comptaient. Les garçons étaient son sujet de discussions favori. Louisie était la sportive du groupe, l'équitation, l'athlétisme, la natation, elle avait tout essayé mais ce dans quoi elle excellait le plus était le tennis elle faisait partie de la petite ligue nationale et en était d'ailleurs championne. Jersey était ce que l'on appelle un geek. Il préférait les ordinateurs aux gens et passait ses journées devant ses différents écrans. Alaska elle était une rêveuse. Encore coincée dans l'enfance elle ne voyait que le meilleur dans chaque personne et adorait aider son père à l'église ou sa mère dans ses tâches ménagères, particulièrement la cuisine. L'enfant parfaite. Quant à Alabama, elle était la rebelle de la famille. Il en fallait bien une, n'est-ce pas ? Très jeune elle a déjà révélé cette facette de sa personnalité. Pour commencer, elle avait tout du parfait garçon manquer. Les trucs de "filles" ça ne l'ont jamais vraiment intéressé. Elle n'aimait pas l'école, elle n'aimait pas le sport, elle n'aimait pas spécialement être la "fille du pasteur" et auraient préféré plus d'indépendances, plus d'intimité et de liberté. Être une Jenkins lui donnait beaucoup trop de responsabilités à son goût. Elle passait son temps à faire le mur, à sécher les cours, elle c'était même misé à fumer en cachette. Elle râlait et traînait des pieds pour se rendre à l'église le dimanche. Elle avait hérité d'une âme de hippie dans laquelle sa mère se reconnaissait, plus jeune. Elle dévalait la mauvaise pente sans tomber dans le trash. En bref, chaque enfant de la famille avait son caractère bien à lui. Pourtant, quand l'un d'eux avait un problème, ils étaient tous soudés et prêts à se soutenir. Ils ne s'entendaient peut-être pas toujours à merveille, mais ils savaient au fond, qu'ils seraient toujours présents les uns pour les autres. Et puis, leurs parents étaient leurs piliers. Tout reposait en fait sur leur père, dont Alabama a toujours été très proches et qui leur avait inculqué les valeurs de la famille et de la fois ainsi que leur mère qui elle, leur avait appris que rien ne pourrait jamais remplacer l'amour des liens du sang. Et tous les matins, quand ils se réunissaient autour de la table du petit déjeuner là où les céréales volaient et les toasts brûlaient, rien ne pouvait rendre leurs parents plus heureux. Et dans les durs moments, ils priaient ensemble ce qui en faisait que renforcer leurs amours avant de plonger dans leurs journées toutes aussi ne déjanter les unes que les autres.

Tu es un volcan. Tu fais la gentille fille, mais ce n’est qu’un masque. Et quand tu ne le supporteras plus, tu exploseras et ce sera fantastique. +Et voilà l'entrée au lycée. Et puis voilà l'arrivée à Dillon, petite bourgade du Texas. Le pasteur Jenkins s'était vu confier le rôle de nouveau prêcheur de fois. La famille au grand complet s'installe ici l'année dès seize ans d'Alabama. Elle était alors une ado' rebelle au grand coeur. Anarchiste, indépendante, différente. Elle ne se fit pas des tonnes d'amis, à vrai dire presque aucun. Elle n'était pas du genre à chercher absolument la popularité comme Arizona ou le genre à l'aise dans un grand groupe de potes comme Louisie. Elle passait beaucoup de temps avec Jersey. Il a toujours été son "préféré" celui à qui elle confiait tout. Plus comme son meilleur ami que véritablement son petit frère. Ils étaient tout le temps fourré ensemble malgré leurs deux ans d'écart. Elle aimait rester dans son coin, vivre sa petite vie tranquille, attendre la fin du lycée pour ensuite s'inscrire à la fac de préférence une école d'arts New-Yorkaise. Vivre de ses peintures, de son art, sa passion. Même si ses parents ont toujours été très supportif dans cet "hobbie" ils auraient préférez-la voir poursuivre de grandes études plus ... Comment dire ... sérieuses. Mais ce serait ne pas connaître la brunette si l'on pensait qu'elle aurait tout fait dans les règles. Elle aimait en faire à sa tête et faire ses propres choix. Contrairement à ses parents, elle ne pense pas que notre destin soit écrit, mais qu'elle-même en est l'architecte. Cela fait désormais une année que les Jenkins sont arrivés en ville. Alabama a trouvé un petit job à mettre-temps dans une épicerie après les cours afin de mettre des sous de côté pour partir s'installer dans la grosse pomme dès la fin de l'école secondaire bien évidemment contre l'avis de ses parents. Les relations avec ces derniers ne font que se dégrader ses derniers temps. Alabama a accentué son indépendance en s'éloignant de plus en plus de la maison, sortant tard et passant la plupart de son temps hors de la vue de ses parents. De plus, la jeune fille a entretenu une relation plus qu'amicale avec l'un de ses professeurs lors de son arrivée en ville. Il la traitais comme une adulte et non pas comme une enfant, ce qui lui plaisait énormément, de plus, elle y trouvait aussi un petit risque excitant dans cette aventure interdite. Et même si cette histoire s'est terminée il y a quelques mois en tout discrétion et que ses parents n'aient pas été mis au courant, ils se doutaient qu'elle sortait avec quelqu'un et le lui a bien fait comprendre en lui demandant de se rappeler sa promesse de chasteté jusqu'au mariage qu'on fait tous leurs enfants. Alabama a pris ça comme un manque de confiance et veut veux énormément à ses géniteurs pour avoir pensé qu'elle aurait pu rompre cette promesse si chère à son coeur. Même si elle dit être saoulée de la religion et de l'église, elle n'en reste pas moins croyante ainsi que pratiquante, sa relation avec son professeur c'est d'ailleurs arrêter à cause de cela. Il était beaucoup plus âgé et aurait voulu plus un jour ou l'autre, chose qu'elle ne se sentait pas capable de lui offrir. Et puis, Jersey l'avait découvert et Alabama avait voulu rassurer son frère en rompant avec cet homme qui aurait facilement pu être son père. Celui-ci ne semble pourtant pas bien le comprendre et ne cesse de vouloir des explications. Enfin, au jour d'aujourd'hui, elle vit une vie plutôt banale, cours, travail, skate-parc pour fuir la maison et les interrogatoires répétitifs de ses parents qui commencent à lui faire littéralement péter un plomb.