NOM : Gordon, un patronyme plutôt commun aux states et ça me va très bien comme cela. PRENOM(S) : Elliott, prénom choisis par ma mère, Richards est celui de mon arrière grand père côté du paternel, c’est comme un héritage familiale DATE DE NAISSANCE :23 octobre 1997 LIEU DE NAISSANCE : Melbourne – Australia, là où il a toujours vécût avant son arrivé à Dillon.ORIGINE : australienne  NATIONALITÉ :australienne  MÉTIER/ETUDE : 12th Grade -  Senior year  GROUPE : Why they are running with ball in their hands ? AVATAR : liam hemsworth  QUALITÉS : attentif, determiné, à l’écoute, ambitieux, serviable, amical, sportif, social, passionné, réfléchi, généreux, fidèle, droit,   . DÉFAUTS : n’aime pas être dépassé, ne pas contrôler, n’a pas confiance en lui en amour, imprévisible, peut être violent, possessif, jaloux.

La vie d’Elliott s’est toujours résumée par les vagues, la plage et l’effet de liberté. Sa vie c’était avant tout le surf, il vivait, respirait, rêvait pour le surf. Depuis tout petit, le blondinet a été attiré par la rafle aquatique, sa puissance, sa beauté. A peine a-t-il marché, ses premiers pas se sont d’ailleurs fait sur la plage, que son petit corps de bambino se dirigeait vers la plage. Alors que la plupart des enfants de son âge apprenait à faire du vélo, lui préférait apprendre à surfer. Son attraction pour cet élément n’a d’ailleurs pas de source connue puisque dans sa famille personne n’était réellement bon nageur ou en tout cas très attaché à la mer. En creusant un peu plus, on découvrirait alors que les Gordon étaient d’anciens pêcheurs, il y a des années.

Bien que le surf fasse sa principale préoccupation, Elliott n’en ai pas moins un jeune homme entouré d’une famille aimante mais séparée. Ce ne fut pas toujours le cas, bien avant sa naissance ses parents étaient un couple remplis d’amour dont il fut le fruit mais toute bonne chose a une fin et c’est celui de leur amour qui subit un point final. On lui expliqua alors par les mots : incompatibilité, égoïsme, essoufflement, désaccord … Rien de bien positif me direz-vous ! Pas étonnant que l’amour pour le jeune homme ne signifie pas directement le bonheur. Alors au lieu de souffrir, sentiment qu’il assimila comme étant l’effet final de l’amour, Elliott se retrancha encore plus davantage dans le surf et les vagues. Ne croyez pas qu’il n’a jamais connu l’amour, il lui suffit d’un été et d’au revoir pour comprendre ce que ses parents vivront quelques années plus tard.

Puis sa mère partit, rejoignant le continent américain et y refaire sa vie. Elliott, lui resta en Australie avec son père qu’il voyait descendre de semaine en semaine, s’écrouler jusqu’à ne plus pouvoir remonter malgré les efforts de son fils. C’est pendant cette période qu’Elliott grandit le plus vite, devenant indépendant, s’occupant de la maison, de son père, de ses études et de son job qui l’occupait après les cours.

Puis vint le jour de l’accident, amenant son père à l’hôpital, puis en service psy, éloignant par la même occasion Elliott de son Australie natale. Pas encore majeur, ce dernier ne pouvait vivre seul, c’est donc vers son parent le plus proche qu’il fut confié : sa mère. Cette dernière depuis son départ avait refait sa vie avec un homme dans une bien belle maison et ville à l’entière opposition où elle avait vécu auparavant. Un petit garçon s’était aussi ajouté à sa vie mais tout cela Elliott le savait, ayant passé quelques vacances auprès d’eux. Enfin il était toujours ravis de traverser le Pacific pour retourner chez lui. Jamais il ne s’était imaginé le survoler et rejoindre les USA pour qu’il devienne son nouveau « chez lui ».