Sujet: nolα, imαgine αll the people, living for todαy. Mar 9 Sep - 22:08
nola montgomery
« tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » guillaume musso.
NOM : montgomery, concernαnt le nom de fαmille, il αppαrtient ά son pαternel et αutres générαtions. jαmαis n'αvαit-elle songé ά ce qu'il en soit αutrement. PRENOM(S) : nolα, ignorαnt αinsi la véritαble significαtion de son prénom, lα brune ne s'est jαmαis questionnée quαnt ά sα provenαnce. DATE DE NAISSANCE : née le dix juin, mille neuf cent quαtre vingt-dix. LIEU DE NAISSANCE : toronto (cαnαdα). ORIGINE : origines diverses, notαmment isrαélienne et britαnnique. NATIONALITÉ : cαnαdienne, c'est toute sa fierté. MÉTIER/ETUDE : αnciennement étudiαnte en histoire, reconvertie en librαire, sαns lα moindre αmbition, d'αutαnt plus. néαnmoins, ne souhαite pαs subsister dαvαntαge dαns le domαine. GROUPE : why they αre running with bαll in their hαnds ? pαrce que très honnêtement, le foot ne lui est d'αucune espèce d'importαnce, et que la brune ne s'imαgine pas constαmment dαns les grαdins. AVATAR : lα jolie leighton meester. QUALITÉS : tolérαnte. spontαnée. modeste. indépendαnte. perspicαce. bohème. cαlme. observαtrice. réfléchie. DÉFAUTS : indifférente. cαssαnte. psychologiquement instαble. distrαite. distαnte. frαgile. individuαliste. réservée. je-m'en-foutiste.
PRENOM : mαllαury. AGE : vingt-et-un αns. COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : bαzzαrt évidemment. je suis fαible et j'αi crαqué complètement. CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : très brièvement. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : personnαge inventé. UN PETIT MOT : forum absolument parfαit, bonjour bonjour.
treasure.
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Sujet: Re: nolα, imαgine αll the people, living for todαy. Mar 9 Sep - 22:08
the story of my life
« but are we all lost stars, trying to light up the dark ? »
LITTLE GIRL - SCHOOL ↘ « Moi, je suis sûr que tu es complètement folle. » Et c'est ainsi, que je ne fus plus maître de mes agissements. J'eus foutrement supporté ces dénigrements tant de fois, que je ne pouvais contenir davantage cette colère toujours plus grandissante. mes mains si frêles habituellement, vinrent hâtivement s'emparer de leur interlocuteur que je secouais brutalement d'avant en arrière. Tant il tentait encore de se défaire de mon étreinte pour le moins, sauvage, que mes yeux s'emplirent de larmes à la lumière clairvoyante, précédés d'insultes d'un langage enfantin. « Je ne suis pas folle, tu entends ? Je ne suis pas folle. » Hurlais-je, sous les regards horrifiés de mes petits camarades de classes. « Espèce de folle. » Venait-il de renchérir, narquois, mais bel et bien embarrassé par cette contestation véritablement inattendue. Bien trop jeune, je ne pouvais daigner combien mes actes s'en suivraient de conséquences considérables, toutefois je n'avais fait que me préserver, car personne jusqu'à présent n'avait eu l'aplomb suffisant pour le faire à ma place.
nola montgomery. Ne pouvait-il s'interrompre, tout en ressassant mon nom dans sa totalité. Véritablement, je n'en menais pas large, toutefois j'eus bien des difficultés à dérober mon animosité non estompée. Le directeur de l'école primaire, ne manquait pas l'occasion inespérée de convoquer instantanément mes parents, qui quant à eux, n'eurent de cesse de rabâcher combien ils furent absolument navrés. Je ne l'étais pas, pas autant qu'eux aprioris. Je n'avais fait que me défendre. Je refusais d'admettre ouvertement que mon attitude effleurait éventuellement l'hystérie. J'étais pour ainsi dire à des années lumières d'une élève exécrable, toutefois, mon tempérament instable attisait fructueusement la curiosité de mes compagnons de classe pour lesquels je symbolisais dans leur conscience étroite, la démence et l'extravagance dans toute leur splendeur. En toute honnêteté, plus que tout au monde, je désirais omettre cette période atroce et psychologie étrange de l'enfant. Je n'étais assurément pas cette gamine méchante, celle pour laquelle nous avons des milliers des raisons de vouloir l'écorcher vive, malheureusement un comportement à peine plus éveillé, eut suscité l'avidité malsaine dont je fus fatalement victime. J'ai toutefois achevé ma scolarité comme je l'avais commencé, entièrement seule.
FAMILY AND FRIENDS ↘ Étrangement, j'ai toujours supposé ne pas être la représentation idéale de l'attachement dans toute sa splendeur, et pour cause, une réplique familiale, pour le moins désastreuse. j'aspire fermement à combien je suis plausiblement responsable de ce fossé pharamineux creusé au fil des années. Je vous l'accorde, je n'en suis pas très fière, je n'ai rien fait pour. Parait-il que ma naissance a été le commencement de cette chute interminable, comme quoi, rien n'arrive jamais par hasard. Née un beau jour de printemps à toronto, je devins hâtivement l'objet de toutes les convoitises. Filles unique, aucun d'eux n'eut envisagé qu'il en soit autrement. Hypothétiquement, si mon tempérament se devait celui d'une princesse orgueilleuse et exclusive, il n'en fut rien. Brusquement je me démarquais à l'exemple même, d'un véritable garçon manqué, et ma préférence pour mon paternel devint excessivement tape à l'œil. Avocat de profession, je regrettais amèrement que nous ne puissions pas partager autant que je l'avais souhaitais, au détriment d'une mère, plus névrosée que jamais. Tous deux ne furent pas encore mariés que leur couple ne se raccrochait guère qu'à plus d'un geste délicat en trois jours. Néanmoins, dans leur dernier retranchement ils daignèrent l'officialisation de leur relation, ou presque... Âgée seulement d'une dizaine d'années, je concevais rapidement les désastres d'une relation destructrice dès lors que l'obscurité maternelle se refusait l'engagement face à une assemblée totalement médusée. La voilà qui, confrontée à elle-même, rejetait tardivement l'entière responsabilité de son mariage. De ce fait, je n'omettrai certainement jamais cette mine décomposée que mon paternel s'était distinctement octroyé, intérieurement peu stupéfait qu'il en soit ainsi. Suite aux évènements, tout contact a été rompu et ma mère n'a représenté guère plus qu'un prénom. Certains prétendent à son départ imminent pour un autre continent, me concernant je faisais face, foutrement parce que je n'avais pas le choix. J'achevais seulement mes années difficiles de primaire, et mon attitude parfaitement détachée me permettait encore de garder la tête haute.
Probablement, et bien qu'il y ait de quoi en être décontenancé(e), je dois toutefois admettre combien le départ de cette névrosée un brin dépressive, fut une véritable libération, du moins en apparence. J'ai surpris mon paternel plus heureux encore en quelques mois, qu'il ne l'avait été durant d'interminables années. Son échec sentimental ne fut qu'un bref et mauvais souvenir et le voilà, qui s'égayait à nouveau en compagnie de sa fraiche conquête. Je n'approuvais guère continuellement sa présence, néanmoins je n'eus jamais été capricieuse ni même acerbe et hostile de la connerie humaine. Je me devais bien la satisfaction à mon père, tout bonnement parce qu'il restait mon unique et réelle famille, consciente qu'à mon tour je me devrai de déserter le cocon. De mon côté, j'entamais ainsi une vie sociale à l'opposé d'autrefois. Mes camarades de classes assimilaient nettement mon comportement atypique à la limite de la folie, qui quant à eux, devinrent de sincères ami(e)s. Mes fréquentations se firent à mon image, un soupçon décalé et sans la moindre chance de prise de tête. J'omettais progressivement les difficultés du quotidien aux travers de délires pas toujours nets, durant lesquels nous expérimentions nos limites, comme tous adolescents de notre âge -14,15 ans-. En apparence, je n'avais plus rien de ce garçon manqué, seul mon comportement instable et éveillé se fit plus traître encore que je ne l'avais espéré. Très franchement, j'estime avoir été le bout en train de la bande, tentant progressivement de communiquer cette folie pour palier partiellement les vides d'une famille parfaitement normale.
Et puis, voilà une première histoire "relation pseudo-amoureuse", qui fut en réalité plus synonyme de toute première désillusion. Plaquée pitoyablement sur le parvis d'un restaurant friqué lors d'une soirée pluvieuse, j'assimilais bien vite combien il restait préférable de ne pas m'enliser dans cette absurdité des sentiments, probablement consciente de n'être qu'une perdante. dix-sept ans seulement et, je me refusais avidement l'enchainement d'histoires à l'exemple même de mon entourage, ne songeant uniquement au couple trop souvent idéalisé, mais inexistant. Fondamentalement, je persistais dans l'idée qu'il en serait différemment avec les années, cependant je dois reconnaitre qu'il y eut une possibilité non envisagée, pour que les choses soient pires encore que l'image de tous ces petits crétins à l'attitude acerbe d'autrefois. Tant la romance de mon père et sa prétendante s'officialisait, que je me délectais de ce tout nouveau cocon familial en m'octroyant lentement ma propre autonomie. Je demeurais professionnellement en tant que serveuse à mi-temps, dans l'unique intention de démontrer à mon entourage, combien je restais pleinement enclin à la tâche, qu'importe le compte en banque de mon paternel. C'est ainsi, que je n'éprouvais guère de difficulté à concilier vie professionnelle et domaine scolaire. De ce fait, il faut bien reconnaitre combien la chance absolue n'est vraisemblablement pas une aubaine assignée au premier venu, et mon paternel eut au moins ce mérite de ne porter aucun jugement positif, comme négatif sur mes fréquentations. Friqués, classe moyenne, ou parents endettés, nous formions une joyeuse bande d'amis et nous n'avions guère besoin d'énormément pour nous distraire. En leur compagnie, qu'importe ma psychologie un semblant dérangée, j'étais parfaitement normale...
DILLON ↘ Toutefois, la situation s'est avérée plus inexplicable encore que je ne l'aurais imaginé. Toronto restait mon idéal certes, mais il fut nécessaire de reprendre mon quotidien en main, avant que les choses ne soient tardives. Âgée d'une vingtaine d'années franchement passées, je quittais soudainement mon pays natal pour le texas. Je subsistais en tant que libraire, tant je considérais le revenu franchement suffisant pour une célibataire endurcie à mon image. Malheureusement, mon arrivée se fit dans une ambiance pesante, et mon tempérament instable s'est avéré plus vif que je l'avais imaginé. Toutefois, j'aspire à combien cet endroit soit synonyme de renouveau. Là où livrée à moi-même je ne distinguerai plus ces propos acerbes d'autrefois. Où mon attitude inhabituelle ne sera pas uniquement une difficulté, tant bien même mon indifférence face aux vétérans de dillon, laisse actuellement à désirer.
Dernière édition par Nola Montgomery le Mer 10 Sep - 17:09, édité 2 fois
Sujet: Re: nolα, imαgine αll the people, living for todαy. Mer 10 Sep - 17:59
Validation
« Bienvenue au Texas ! »
Bienvenuuuuuuue sur Long Live texas
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Propre. Tout est bien écrit, l'histoire est intéressante, le personnage est très captivant, j'ai pas grand chose à redire sur ta présentation.