« YOU KNOW MY NAME, NOT MY STORY. YOU'VE HEARD WHAT I'VE DONE. NOT WHAT I HAVE BEEN TROUGHT »
NOM : Speelers - Speed Speelers. Une blague. Pas un vrai nom de famille. Fierté quand même. Qui se moque en prend plein la tronche, à bon entendeur.PRENOM(S) : Webster. Comme, a vrai dire, aucune idée. Un prénom surement trouvé à la page 485 d'un bouquin intitulé : " Quel prénom merdique donner à votre futur raté de fils en espérant favoriser son intégration quand même". Fureur des années 90, apparemment. Theodore. celui là, autant dire qu'il le planque au fin fond des archives. Défense de farfouiller.DATE DE NAISSANCE : Juillet, 27. LIEU DE NAISSANCE : DILLON ( TEX) ORIGINES : 1/4 irlandaises toujours de la guinness qui coule dans les veines, 1/4 macaroni et le reste WASP paraitrait-il, autant dire qu'il s'en tape comme de l'an 40 NATIONALITÉ : américaine MÉTIER/ETUDE : Monsieur Speelers étudie le commerce international à l'université du coin. Voyez-vous, le football, c'est bien, avoir un boulot, c'est mieux.GROUPE : Don't mess with football AVATAR : Jack O'Connell. QUALITÉS : Chercher les qualités de monsieur Speelers c'est un peu se lancer dans une aventure épineuse de laquelle vous pourriez tout simplement jamais ressortir vivant. Monsieur Speelers a autant de qualité qu'un dictateur de centre-afrique, vous voyez le genre ? S'il est quelqu'un, on doute souvent qu'il fasse quelque chose de sa vie. Son ambition n'est peut-être pas la chose qui saute le plus aux yeux. Toutefois, ses blagues, elles, elles vous sautent direct aux oreilles. Il faut dire qu'il en dit des conneries. Il est séducteur, il est loyal cependant, gare à ceux qui auraient tendance à le traiter de chien. Son amitié se paie à prix fort mais soyez sûrs qu'il soit celui que vous pourriez appeler à 3 heures du matin. S'il gagne à être connu ? Probablement pas. Il n'a aucun talent particuliers, pas même la gueule qui pourrait le sauver. Il est éloquent, sinon. Un vrai commercial. Il vendrait une télévision à un aveugle, du pain à en mec qui mourrait de soif. Il respect tout le monde, à moindre mesure ( faut pas trop lui demander quand même).DÉFAUTS : Ce mec n'a que des qualités, voyons. Il vit à Speelersland et là-bas, qualités et défauts vivent en harmonie et sont confondus. La vérité voudrait qu'on souligne un tantinet ses problèmes de gestion de la colère, ses tendances à se foutre à peu près de tout le monde ( ses parents compris). Sa proportion étonnante à la vanité et ses élans de stupidité qui peuvent être létaux. En globalité, il a appris, il y a longtemps, à l'époque où il faisait parti des Panthers qu'il n'était pas bon d'être individualiste. Mais bon, prêcher un convaincu c'est prêcher un convaincu. ou presque. voilà tout.
PRENOM : anonyme AGE :à quoi ça sert COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : j'avais pas fini ma fiche (la tehon) mais là, j'ai du tempsCONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : trop, trop mais bon elle n'a pas fait long feuPERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : inventado UN PETIT MOT :
Headtotoes
Dernière édition par Webb Speelers le Sam 25 Oct - 20:50, édité 15 fois
Sujet: Re: j'anesthesie l'ennui Ven 24 Oct - 17:14
the story of my life
« “ The human heart beats approximately 4,000 times per hour and each pulse, each throb, each palpitation is a trophy engraved with the words “you are still alive.” You are still alive. Act like it. »
Quand il regarde son p'tit chtar de frangin, il en prend plein la vue. Même dégaine de moins que rien en devenir, même tronche, même pathos. « Je peux venir ? », il lui lance ça, Toby, un sourire en coin de lèvres, l'air de dire : steuplait, steuplait. Des supplications qui tombent dans l'oreille d'un sourd, Webb, il déteste les chouineries surtout lorsqu'elles viennent de son frère. Un regard de travers et c'est à lui d'avoir l'air de dire : porte tes couilles. Porte-les bien. Bien bas. « Est-ce que j'ai l'air de vouloir me foutre un boulet à la cheville ? T'as pas 16 ans, la soirée est interdite aux pucelles, tu piges ? ». Il le remballe, le petit frère qui croit que le grand à tout du héro, le héro à gueule de zéro qui pointe toujours avec les déclassés. Il soupire, Webb, il déteste le congédier, il déteste avoir à faire figure d'autorité lorsque le père n'a pas l'air de vouloir jouer son rôle. Trop occupé à baiser la secrétaire sous les yeux de leur mère complètement ramassée. Ça, il faut dire, ils la ramassent toujours à la petite cuillère lorsqu'elle boit , boit pour noyer le chagrin mais, tout ce qu'elle noie c'est elle-même. Foutue bouteille. Père qui a tout d'un merdeux. Webb, il pense : les chiens ne font pas des chats. Craint l'expression autant que les gènes qui le lient au spécimen. Prie pour qu'il n'en soit pas ainsi. Vous voulez savoir ? Pas pour rien qu'elle existe cette expression et sa petite amie ( enfin ex petite amie) clame haut et fort que s'il y a un connard sur terre, elle est tombée dessus. « J'sais faire la fête, Webb, figure-toi que j'suis un Panthers » - argument choc qu'il balaye, Webb, d'un revers de main. A d'autre, souffle-t-il, j'en ai également fait parti et, tu veux savoir, ça ne veut strictement rien dire, tu l'apprendras. « Ça m'fait une belle jambe. Surveille maman, d'accord ? Cadenasse c'putain de bar et vérifie qu'elle sorte pas pour s'acheter de quoi se brûler la glotte ». Sur ces paroles poétiques à atours de précieux conseil, monsieur claque la porte. Toby est un bon gars, il mérite mieux que de se retrouver à vomir ses tripes entre deux bagnoles. La déchéance, il se la réserve. C'est une compagne indésirable à laquelle il s'est habitué, depuis le temps. Il s'engouffre dans la superbe BMW offerte par son incapable de pater, histoire de se déculpabiliser de ne pas être « présent ». Un cadeau empoisonné, utilisé comme objet de chantage affectif. Un chantage qu'il salue du majeur, évidemment.
Webb, il déglutit, il sent ses mâchoires se crisper. La nervosité s'étendre, lui vriller les traits. Le sang influer dangereusement à ses tympans. Il craque, il voudrait surtout croquer. Viser les jugulaires, laisser le sang couler. Il enrage, Speelers. C'est soir de match, il est tranquillement là à soutenir son frère qui détale comme un dératé sur le terrain, il est là. Tranquillement, putain de bordel. Mais, il la voit, la salope qui fricote avec un de ceux qui ne feront jamais rien que chauffer le banc de touche. Sa salope, son ex-petite copine. Une idiote rencontrée lors d'une soirée étudiante à laquelle elle n'aurait jamais dû participer, parce que trop jeune. Putain de jeune. Ça, elle était belle, bien gaulée, elle faisait pas son âge. Un âge qu'il n'a pas demandé. Webb, il a les poings qui se serrent, la jalousie explose dans tout son être, le rend vert. Il aurait dû lui demander son âge. Avant que le flirte sans conséquence se transforme en romance cauchemardesque et se finisse en hurlementS, en pleurs. Il la hait. A cet instant. Dix-sept ans. Il en a vingt-trois. Six ans qui les séparent. Six années qui le condamneraient à cinq dans l'ombre. Et les battements de son cœur, eux, il en n'a strictement rien à foutre. Elle ne les mérite pas. Elle les mérite ou pas ? Il se la pose souvent, la maudite question. Et à la voir, là, à fricoter, ça chicote, un plomb pète. Elle n'a pas le droit. « Webb, qu'est-ce t'as ? » Il crache un « rien » qui se perd dans le brouhaha fait par tous les supporters. Touchdown. Les gradins, il les délaisse, Webb. Il s'avance, il s'arrange pour se rapprocher d'elle. Si près, si loin. Assez pour sentir à nouveau son parfum, il aimerait lui arracher un baiser. Mais tout ce qu'il lui arrache c'est quelques insultes qu'elle lui balance, grenades en pleine figure. « Fais ta merde mais, fais la ailleurs. Pas sous mes yeux ». C'est peut-être le but, elle le pense. Elle se dit : m'aime-t-il ou se la joue-t-il territorial à deux balles ? « C'est.pas.ton.problème ». Il se tire, Webb. Dégage. Même si les coutures pètent à chaque fois qu'elle le condamne. Il tient à elle. Mais, elle n'a vraiment pas besoin de le savoir. Il n'a vraiment pas besoin de la voir. Ni de la sentir. Ni rien. Rien la concernant. C'est ce qu'il se dit et , il s'y tient. Enfin, souvent.
« Déjeuner en famille, c'est un nouveau concept auquel j'ai franchement bien du mal à me faire » - dimanche à l'église, aussi. Ça, ça demeure suspect. Il mâchouille la bouche pleine, salade césar au menu. Webb, il se contente d'écouter son père discuter de tout, surtout de lui, de son métier ( auquel il destine son fiston, au passage). Il vend des choses, il est concessionnaire. Il a une concession. Notez que concession rime avec prison et, c'est tout ce qui tilt dans la tête dudit fiston, Webb, en l’occurrence. « Bien joué, Toby, j'ai entendu dire que vous leur en avez mis plein la tronche aux Crows » - il lève les yeux au ciel, Webb, tirade visant à s'acheter l'affection de son plus jeune fils, assis à ses côtés. Mais, t'étais pas là, pa'. Pourquoi tu parles ? T'étais pas là.« Il a été grandiose. En même temps, c'est un Speelers, hein. Tu l'saurais si tu avais daigné te joindre à nous» petite pique balancée entre deux bouchées. Et le père qui réplique en attaquant sur un terrain miné : « Et tes études, ça s'passe comment ? ». L'enfoiré, il pense, Webb. Les études, c'est les études. Interminables, qui mettent minables, qui rendent fous. « Comme d'habitude. Rien à en dire ». Heureusement qu'Angela est là, à changer de sujet lorsqu'elle sent que ça devient fortement épineux. Nauséabond. « John, parle-nous de ton voyage à Boston ». Webb, il coule un regard à son père, oui, parle-nous de ta dernière conquête. Comme d'habitude, une afro, la moitié d'ton age ? « Oh, vous savez, c'est toujours le même schéma ». Comme d'habitude, donc qu'il pense, Webb, devant les regards énamourés qu'Angela lance à son mari, tout en sachant que ça coince, que le tableau a beau avoir l'air parfait, le tableau pue. « Ah, bah, tu vois, pa' c'est un peu comme mes études ». Et prends-toi ça dans les dents songe-t-il, avalant goulûment. Orientant son regard ailleurs que sur l'oeuvre lamentable d'un artiste raté qu'est leur famille.
Dernière édition par Webb Speelers le Sam 25 Oct - 20:50, édité 10 fois
Sujet: Re: j'anesthesie l'ennui Ven 24 Oct - 18:22
la grosse noob. merci. (Je te promets que je m'en souviens même plus, c'était un scénario avec une blonde. J'devais être torchée au moment de l'inscription ( ce qui explique que je n'ai pas fait long feu ) merci beaucoup
Sujet: Re: j'anesthesie l'ennui Dim 26 Oct - 12:41
Validation
« Bienvenue au Texas ! »
Bienvenuuuuuuue sur Long Live texas
Tout d'abord félicitations, tu as passé avec succès l'étape la plus importante (et parfois la plus enquiquinante), celle de la fiche de présentation Tu es maintenant validé(e), et tu vas donc pouvoir prendre part à la vie du forum Il va falloir recenser ton avatar par ici (attention si tu l'as réservé pendant ta fiche, il faut quand même repasser pour le "valider") afin de ne pas devoir changer de tête si jamais quelqu'un voudrait tenter le même avatar Tu peux également venir faire diverses demandes comme intégrer un club, recenser ton métier ou ton logement ! Tu pourras également contacter le staff si jamais tu souhaites changer ton avatar, ton personnage ou bien demander un nouveau compte Si tu désires créer un scénario ou des liens comme ta famille, tout se passe ici. Il ne faut pas non plus oublier la fiche de liens, attention c'est classé par sexe Sur LLT, tu as aussi la possibilité de te créer un journal intime, un téléphone ou encore un compte instagram Et enfin, tu peux te divertir par là ou exposer tes oeuvres d'art ici. Bon jeu sur LLT et amuse toi bien
J'ai beaucoup aimé ta fiche, très crue, agréable à lire et le personnage aussi est excellent ! Validé.