Date d'inscription : 11/10/2014 Messages : 32 Pseudo/Prénom : addie Avatar : jack harries Crédits : sweet disaster Âge : dix-sept ans Études/Métier : lycéen
Sujet: gus ♪ you can't stop the beat Sam 11 Oct - 18:21
O'Connor, Augustus Kyle
« you can't stop the beat »
NOM : O'Connor, un nom à connotations irlandaises, bien que la famille du jeune homme soit de nationalité américaine depuis cela de nombreuses générations. PRENOM(S) : Augustus, un prénom haut-en-couleurs à son image, mais que peu connaisse réellement car il se fait constamment appeler « Gus ». Sa mère lui a donné comme deuxième prénom Kyle, prénom qu'elle affectionne tout particulièrement. DATE DE NAISSANCE : six octobre 1997. LIEU DE NAISSANCE : Gus est né à Dillon et il n'a jamais eu l'occasion de quitter la ville, si ce n'est que pour quelques excursions scolaires. ORIGINE : Majoritairement américaine, inspirée de quelques traces d'Irlande si on remonte loin dans la généalogie. NATIONALITÉ : Le garçon est d'origine américaine. MÉTIER/ETUDE : Il est senior au lycée. GROUPE : Don't mess with football !AVATAR : Jack Harries QUALITÉS : loyal ♪ protecteur ♪ blagueur (bien que son humour ne soit pas forcément conventionnel) ♪ souriant ♪ malicieux ♪ intelligent ♪ attachant ♪ romantique ♪ charmeur ♪ compétitif ♪ drôle. DÉFAUTS : hyperactif ♪ émotionnellement empoté ♪ envahissant ♪ possessif ♪ manque de confiance en lui ♪ rêveur ♪ très peu scolaire
NOM : addie. AGE : j'suis pas vieille COMMENT ES-TU ARRIVE ICI :bazzart ! CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : j'en ai entendu parler il y a assez longtemps, mais je ne l'ai jamais regardée. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : scénario ! UN PETIT MOT : c'est canon ici
Addie
Dernière édition par Augustus K. O'Connor le Mar 14 Oct - 21:19, édité 7 fois
Date d'inscription : 11/10/2014 Messages : 32 Pseudo/Prénom : addie Avatar : jack harries Crédits : sweet disaster Âge : dix-sept ans Études/Métier : lycéen
Sujet: Re: gus ♪ you can't stop the beat Sam 11 Oct - 18:21
the story of my life
« citation qui va bien ici même »
« A chaque fois que mes yeux se posent sur une des merveilles de ma vie, je pense à lui. Je pense à tout l'amour que j'ai porté à cet homme qui pourtant, n'a apporté que désarroi dans mon existence. J'ai tellement, et si longtemps aimé Johnny. Je pense que je l'ai aimé si fort, qu'il y a une partie de mon cœur qui est condamnée à lui être réservée. Mais jamais Johnny n'aurait pu s'occuper de ce petit être. Malgré les innombrables secondes chances que je lui ai offert, celui que je considérais comme étant l'amour de ma vie ne pouvait pas faire partie de cette vie-ci. J'étais tombée enceinte, ce n'était pas voulu, pourtant, lorsque j'ai appris la nouvelle, le premier sentiment que j'ai ressenti n'était pas de la peur, n'était pas du désespoir. J'étais heureuse, euphorique, et admirative à l'idée qu'un bébé grandisse en moi, un bébé qui était conçu de l'amour le plus fort qui pouvait exister à mes yeux.
Et quand je vois mon fils, ce petit bonhomme devenu désormais si grand, je repense à Johnny. Je repense à comment j'ai autorisé ce père qui l'ignore à faire partie de la vie de mon fils en n'étant qu'un très faible acteur, car je l'estimais incapable de s'occuper de son descendant, de son sang. Johnny était rongé par nombreux vices, et Augustus en aurait pâtit. C'est ça qui fait vivre ce mensonge, ce non-dit. Je ne trouve pas le courage d'annoncer à mon fils que son père n'est pas celui qui l'a élevé, celui qui l'a aimé, celui qui lui a appris à faire du vélo et emmené à tous les matchs des Panthers, mais celui qui était instable, vivait dans une maisonnette plus que modeste, seul, avec pour seules amantes ses bouteilles d'alcool et sa musique country. Les années défilaient, au début je me disais qu'il était bien trop jeune pour comprendre. Puis l'adolescence a pointé le bout de son nez, et je me suis dit à quoi bon nuire à ce bonheur ? A quoi bon chavirer sa vie ? La vérité fait mal, et mon cœur de mère ne veut que le voir heureux. Il veut bannir les sciences, la biologie, et laisser croire à cet adolescent que son père est celui qui l'a élevé, et non celui qui l'a conçu. »
Pensées de Kelly O'Connor
« Ma vie n'a rien d'extraordinaire, vraiment. Je suis né à Dillon, j'ai vécu à Dillon. Mes parents étaient ensemble avant que je naisse, je suis arrivé tôt dans leur histoire. Puis ils ont construit une maison, une maison qui ressemble beaucoup aux autres aux alentours. Mes parents sont des types banaux, ils font pas de vagues, ils travaillent et le week-end on a des activités ordinaires. Y'a vraiment rien de palpitant à chercher dans mon existence, franchement.
D'ailleurs, parlons un peu de ma vie. Qu'est-ce qui constitue ma vie ? Alors, d'abord il y a la famille, mais il y a si peu à dire que c'est déjà fait. J'ai pas de frères et sœurs, mais en fait, ma mère est assistante sociale et elle accueille des enfants dans le besoin, du coup, j'ai l'impression que parfois ça compense. Ça bouge beaucoup chez moi pour ça, parce qu'il faut constamment s'adapter à quelqu'un qui a quelques problèmes dans sa vie. Il faut découvrir la personne, savoir ce qu'elle aime, lui faire plaisir pour qu'elle se sente bien, lui remonter le moral. Vu qu'il s'agit d'enfants, parfois c'est moi qui les conduit à l'école et leur montre comment ça se passe. Le but c'est qu'ils puissent rentrer chez eux, dans leur famille, mais il m'est arrivé parfois de trouver difficile le départ d'un enfant qu'on a accueilli. Parce que quand on vit plusieurs mois, parfois des années avec la même personne, la voir partir crève un peu le cœur à mes yeux. Mes parents le voient pas vraiment comment ça, et c'est sûr que les enfants-là doivent faire leur vie et avoir leur famille, pas la mienne, mais j’aimerai quand même partager la mienne avec tout ceux-là.
Il y a quelque chose dans ma vie qui est imminent. C'est quelque chose que j'ai toujours eu, qui me lâche jamais, qui ne s'éteint jamais. Quand j'étais petit je voyais ça un peu comme un court-circuit. J'ai un TDAH. Beaucoup ignorent de quoi il s'agit vraiment, même si on en a tous quelques notions. Un TDAH, c'est un trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité. Grosso modo, ma tête est toujours pleine d'une tonne d'idées, et j'ai beaucoup de mal à faire le tri. C'est comme si j'avais une infinité de voix bien différentes qui me parlaient avec enthousiasme et en même temps, et que je veux toutes les écouter. A l'école, ça va pas très fort pour ça, il faut qu'on m'aide, qu'on soit patient, qu'on connaisse mon « trouble ». Et franchement, pour ça, je suis pas fan de l'école. Je suis pas scolaire. Quand il y a un examen à passer, généralement, j'ai le droit à quelques minutes de plus aussi. Il faut dire qu'une tâche qu'un de mes camarades de classe fait en cinq minutes, elle peut me prendre jusqu'à trente. Je suis plutôt imprévisible, je vois pas les choses comme les autres. Je réfléchis pas comme les autres. Mon cerveau est différent, et pour ça, je suis un enfant « différent ». Certains pensent que je suis un enfant à problèmes, certains compatissent avec mes parents d'avoir un enfant comme ça, qui doit pas être facile à supporter tous les jours. Autant cela peut-être un peu blessant parfois, autant je sais pertinemment que je peux pas changer. J'ai essayé, vraiment. J'ai tenté de donner un coup de pied aux fesses à ce TDAH et à être comme les autres, comme « tout le monde », mais j'ai réalisé que c'était pas possible. Alors, on m'a aidé à m'aimer tel que je suis, et faut dire que c'était pas facile. C'est pas évident de faire quelqu'un aimer quelque chose qu'il veut changer. C'est comme si on vous forcez à aimer les épinards. Au bout d'un moment, j'ai tenté de me faire une raison, mais il y a toujours eu des hauts des bas, et heureusement que j'étais bien encadré pour passer à travers tout ça. Au bout d'un moment, j'ai renommé mon TDAH, parce qu'à mes yeux, dire « trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité », c'était plutôt... Trop sérieux. J'l'ai appelé « Trop d'idées à héberger ». Ça m'allait mieux. Et malgré tout, il y a des trucs en quoi je suis bon : la musique, les activités artistiques. J'ai du mal avec les maths, parce que quand on me dit « Paul a 8 pommes, Sophie lui en prend 2, il en perd une en chemin, Marion lui vole la moitié que Sophie lui a pris... » au lieu de faire les calculs, je dessine un pommier sur mon cahier de maths, parce qu'à mes yeux, si Paul avait un pommier dans sa cour, il aurait plein de pommes, et aurait plus à se soucier de combien de pommes il a vraiment.
C'était pas facile, mais je peux pas dire que je suis malheureux. Finalement, je fais de mon TDAH un sale ami. Parfois il me va, parfois il me soûle. Mais je vis avec. Et dans ma tête, c'est devenu une habitude, et non parce que « j'ai pas le choix ». La plupart des élèves de ma classe me connaissent depuis mes six ans donc ils savent comment je suis et font plus attention. Ça aide de grandir dans la même ville. Et puis, avec toute l'aide que j'ai reçu et continue de recevoir, j'ai pas redoublé une seule fois, si bien que je suis Senior maintenant au lycée. Certes, ça fait un peu flipper les examens à la fin de l'année et mes parents me soûlent avec ça, mais pour le moment, ça va. C'est pas le Pérou. C'est pas des notes extraordinaires, mais ça passe.
Et puis, il faut dire que j'aime garder le meilleur pour la fin. Vous savez à propos de ma famille, ce qu'est un truc banal. Vous connaissez mon TDAH, ce qui est plutôt mitigé. Maintenant, je vais vous parler de la meilleure chose de ma vie. Cette chose, c'est pas la musique ni les arts, même si elles sont bien placées. Cette chose, c'est pas une vraie chose, c'est une personne. C'est ma meilleure amie, une déjantée comme moi qui fait vibrer toutes les parties de mon être chaque seconde que je suis avec elle. Ça fait des années que je la connais, et en quelques sortes, ça a été le coup de foudre immédiat. Je peux pas imaginer ma vie sans elle. On est toujours fourrés ensemble, ou presque. On est comme deux mousquetaires, deux doigts de la main. On est là l'un pour l'autre, on est complices, on se voue une confiance aveugle, on se connaît sur le bout des ongles. On s'entend bien, on délire ensemble, on a le droit de tout avec l'autre. En fait, vous savez, parfois on rencontre des gens et on se « réserve » un peu. Quand on a plusieurs amis on se rend compte que d'un ami à un autre, on « change » de personnalité, certains traits sont atténués, d'autres accentués. Avec Avalon, je suis 100% moi et 200% heureux. Oui, Avalon, c'est ma meilleure amie, mon tout, mon soleil, mon étoile, le centre de ma vie. Avalon, je l'aime, tout simplement, et je supporterai pas de la perdre. »
Dernière édition par Augustus K. O'Connor le Mar 14 Oct - 21:41, édité 3 fois
Sujet: Re: gus ♪ you can't stop the beat Sam 11 Oct - 21:33
autumn c'est mon beau à moi
sérieux, bon je vais passer pour la folle et tout mais merci tellement merci en plus avec augustus et jack en vava, tellement de perfection bref, bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Sujet: Re: gus ♪ you can't stop the beat Mer 15 Oct - 14:02
Validation
« Bienvenue au Texas ! »
Bienvenuuuuuuue sur Long Live texas
Tout d'abord félicitations, tu as passé avec succès l'étape la plus importante (et parfois la plus enquiquinante), celle de la fiche de présentation Tu es maintenant validé(e), et tu vas donc pouvoir prendre part à la vie du forum Il va falloir recenser ton avatar par ici (attention si tu l'as réservé pendant ta fiche, il faut quand même repasser pour le "valider") afin de ne pas devoir changer de tête si jamais quelqu'un voudrait tenter le même avatar Tu peux également venir faire diverses demandes comme intégrer un club, recenser ton métier ou ton logement ! Tu pourras également contacter le staff si jamais tu souhaites changer ton avatar, ton personnage ou bien demander un nouveau compte Si tu désires créer un scénario ou des liens comme ta famille, tout se passe ici. Il ne faut pas non plus oublier la fiche de liens, attention c'est classé par sexe Sur LLT, tu as aussi la possibilité de te créer un journal intime, un téléphone ou encore un compte instagram Et enfin, tu peux te divertir par là ou exposer tes oeuvres d'art ici. Bon jeu sur LLT et amuse toi bien
C'est nif. Très bien écrit, complet, ça plait à Ava', j'ai rien à dire.