Date d'inscription : 13/09/2014 Messages : 130 Pseudo/Prénom : Justboy/Sean Avatar : Derrick Rose Crédits : Justboy (avatar); heybelinda@TUMBLR (sign) Âge : 24 ans Études/Métier : Coach de l'équipe de basket
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Sujet: Cameron ~ I ain't tryna do what everybody else doing Sam 13 Sep - 13:07
Cameron Allen Davis
« You said we're a team. One person struggles, we all struggle. One person triumphs, we all triumph. »
NOM : Davis. Il est le fils du regretté Coach Davis à l’université du Texas qui ramena deux titres à son université en 1994 et 1995. PRENOM(S) : Cameron, Allen. N’essayez pas de l’appeler Ron, il déteste. Vous pouvez essayer Cam’, mais il s’agit généralement d’un surnom réservé à sa famille. DATE DE NAISSANCE : 5 novembre 1990. LIEU DE NAISSANCE : Dillon, Texas. ORIGINE : américaines. NATIONALITÉ : américain et fier de l’être. MÉTIER/ETUDE : Cameron avait obtenu une bourse d’études grâce à ses talents de basketteur et était en passe de se faire drafter en NBA quand le drame arriva : une grosse blessure le contraignant à oublier tous ses rêves. Il s’inscrit maintenant dans un héritage familial : celui de coach de basket, et c’est au lycée de Dillon qu’il fait ses premiers pas. GROUPE : deal with it. AVATAR : Derrick Rose. QUALITÉS : passionné, franc, loyal, persévérant, impliqué, réaliste, altruiste, drôle, sociable, modeste, leader . DÉFAUTS : exigeant, provocateur, têtu, susceptible, borné, fier, arrogant, insolent, impassible
PRENOM : Sean. AGE : 23 ans. COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : Bazzart, par hasard je faisais un petit tour. CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : Oui j’ai tout vu, mais ça fait tellement longtemps que j’ai dû oublier certains passages ! PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : Inventé. UN PETIT MOT : J’ai déjà tout dit dans la partie invités mais félicitations c’est un forum sublime, et puis vous avez tous l’air sympa !
Justboy
Dernière édition par Cameron Davis le Sam 13 Sep - 23:40, édité 2 fois
Date d'inscription : 13/09/2014 Messages : 130 Pseudo/Prénom : Justboy/Sean Avatar : Derrick Rose Crédits : Justboy (avatar); heybelinda@TUMBLR (sign) Âge : 24 ans Études/Métier : Coach de l'équipe de basket
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Sujet: Re: Cameron ~ I ain't tryna do what everybody else doing Sam 13 Sep - 13:08
the story of my life
« Am I wrong? »
La famille Davis n’a rien d’une famille aisée. Les Davis ont toujours galéré dans la vie, mais ils ont remplacé l’argent par le bonheur et l’amour, le vrai. Marshall Davis et Tina Jackson-Marshall se sont mariés très jeunes. Une belle histoire, un coup de foudre et un amour inconditionnel qui n’a jamais cessé, comme un feu impossible à éteindre. Ils avaient tout juste dix-huit ans quand ils se sont mariés, et peu importe les obstacles, ils voulaient faire leur vie ensemble, rien ne les empêcherait d’y parvenir. Marshall Davis avait toujours rêvé d’entrainer une équipe professionnelle de basketball. Il enchainait les petits boulots à côté pour subvenir aux besoins de leur vie à deux, pour payer le loyer. Tina, elle était aide-soignante. Son boulot lui plaisait plus que de raison, elle était dévouée aux gens dans les hôpitaux. D’ailleurs, tout le monde l’encensait. Elle était une bénédiction. Marshall et Tina ont très vite connu les joies d’être parents. Un an après leur mariage, Vanessa venait au monde. Maintenant âgée de 32 ans, elle travaille dans une agence de voyage, mère de deux enfants aussi espiègles que capricieux. Elle a épousé un gars, Peter, qui est journaliste. Elle ne vit plus chez les Davis depuis de nombreuses années mais elle revient toutes les semaines prendre des nouvelles et s’occuper de la marmaille. Parce que les gosses, il y en a eu après. Kieran est arrivé 4 ans après. S’inscrivant dans la tradition familiale, il a joué au basket durant ses jeunes années, avant d’abandonner, trop jaloux du talent de son petit frère, et se découvrant une passion pour la mécanique. Il a 28 ans, il n’est pas marié, mais fréquente une jeune femme peu recommandable. Personne ne l’aime dans la famille, elle est coiffeuse, et elle fait mauvais genre. Mais lui, il l’aime bien, surement parce qu’elle est un bon coup. Pour plus de commodités, Kieran vit encore à Dillon car il s’y est installé pour bosser dans un garage. Mais il n’aime pas l’influence que peut avoir sa mère sur lui, alors il ne lui rend visite que de temps en temps. Et puis, c’est Cameron qui a vu le jour ensuite quatre ans plus tard là encore. Cameron, il a tout de suite été le favori de son père. Marshall voyait en lui la future star de la famille. Il respirait basket alors qu’il savait à peine marcher. Il aurait voulu qu’il touche les étoiles, mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Cameron, à 24 ans, marche sur les traces de son père en tentant de se réinventer une vie. Il était en couple avant que tout bascule. Il était amoureux, Tina le voyait dans ses yeux. Mais il a merdé. Il n’a pas supporté les drames successifs, et il l’a envoyée paitre alors qu’elle ne demandait qu’à l’aimer cette pauvre fille. Elle sait qu’il le regrette, mais il est trop fier pour l’admettre. Kaena a vu le jour six ans plus tard. Kaena, c’est la réussite de la famille. Elle est belle, intelligente, et elle sera surement admise dans une des universités de la Ivy League à la fin de l’année. C’est simple, elle n’a pas de défauts, c’est une battante, et elle incarne à elle seule l’espoir de toute famille. Elle se destine probablement à des études de médecine, ou avocate. Peu importe, en fait elle réussira quoi qu’il arrive. Et enfin, le petit dernier Michael a 16 ans. Il vient de rentrer au lycée, et il déroge à la tradition familiale. Michael veut faire du football. En aucun cas il fera du basket pour que son frère ait la main sur lui. Il ne comprend pas cette haine qu’il possède pour le football, c’est un sport génial ! Michael compte bien leur prouver qu’on peut réussir et qu’il ira à l’université que ce soit grâce à ses résultats, ou au football. Le tableau familial est dressé et on aurait pu dire que la grande famille avait de beaux jours devant elle. Mais c’était sans compter les divers troubles qu’ils ont pu rencontrer. Bien sûr, ça a tissé des liens forts, mais tous n’en sont pas sortis indemnes.
***
Le soir de Thanksgiving 2010. Ce repas de famille pour Thanksgiving était organisé depuis de nombreuses semaines. Tout le monde allait être présent, ça allait être une grande fête. Tina avait tout préparé de A à Z. Elle avait fait la cuisine, bien aidée par sa chère Kaena, et puis Vanessa, venue plus tôt pour l’occasion. Michael jouait avec les enfants de sa sœur dans le jardin, et puis Marshall et Kieran étaient partis voir le match de Cameron. Tina était heureuse. Tous se retrouver laissait un sentiment de plénitude. Tout ne pouvait que bien se passer. Elle attendait le retour des hommes de la maison avec impatience, emplie de bonheur et de joie, respirant la vitalité comme si elle s’était rajeunie de plusieurs années. Il ne lui en fallait pas beaucoup, elle n’avait besoin que de son petit monde. Et puis le téléphone retentit. D’une joyeuse et guillerette voix, elle prit la parole en posant le combiné contre son oreille. « Allo ? » Au bout du fil, des sanglots, une voix paniquée, celle de son fils cadet, Cameron, peinant à s’exprimer : « Maman… Maman… c’est…papa… il…il » Elle n’avait pas besoin qu’il finisse sa phrase. Le vide l’emprisonna. Elle lâcha le combiné, s’effondrant, se décomposant. L’amour de sa vie, son essentiel, sa raison d’être l’avait quittée. Elle le sentait l’abandonner. Au bout du fil, Kieran essayait de la joindre, Cameron était incapable de parler. La victoire acquise n’avait aucune saveur. C’était Thanksgiving, et au lieu de plaisanter autour d’une table, dégustant un bon repas, ils subissaient la dure loi de la vie. Marshall avait succombé à une attaque. Tina ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle cria de façon déchirante, à l’agonie, et ses filles accoururent pour la secourir, mais c’était trop tard. On lui avait pris son mari. Dans les bras de Vanessa, elle ne s’arrêta pas de pleurer, et elle finit par l’annoncer : « Oh mon chéri…Pourquoi lui ? » Kaena, elle, ramassa le combiné et écouta ce que Kieran lui disait : « Kay… On est à l’hôpital de Chicago, je ne sais pas quoi faire… Dis à Vanessa de venir… s’il te plait. » Coach Davis s’en était allé, et il avait laissé derrière lui une famille démunie. Une fille qui s’efforça de relever sa mère, un fils qui tentait de consoler son inconsolable petit frère, une autre fille qui ne comprit pas pourquoi donc Dieu avait décidé de les punir le soir de Thanksgiving, et un petit garçon qui ne comprit même pas pourquoi on enterrait son père quelques jours plus tard. La famille Davis eut beaucoup de mal à se remettre de ce décès soudain. Cameron lui, ne retourna pas à l’université pendant deux semaines, culpabilisant. Si son père n’était pas venu le voir, il serait peut-être encore là. Voilà ce qu’il pensait. Mais c’est sa mère, battante, qui l’implora de réaliser son rêve, au moins pour son père. Pendant un certain temps, beaucoup de gens se mobilisèrent pour leur venir en aide, mais rien ne soulageait la peine. Et la perte d’un être cher est parfois insurmontable.
*** Cameron avait tenu parole, il s’était entrainé encore plus dur pour honorer la mémoire de son père. A l’université, tout le monde ne parlait que de lui. Quand on lui demandait ses impressions, il disait juste qu’il souhaiter encore progresser, et aller toujours plus haut. Mais évidemment, il n’était pas au bout de ses peines. Il avait lâché les cours, il n’y allait qu’à de rares occasions, il vivait dans son monde à Chicago, loin de sa famille, exécutant les matchs avec brio, et la fin de saison approchait, tout le monde donnait son nom comme le premier à être drafté par les Bulls, ça ne faisait aucun doute. Seul lui en doutait, et il avait raison. Comme un pressentiment, Cameron ressentit la même chose que le jour où il avait vu son père pour la dernière fois, conquis par la prestation de son fils, le fantôme de son sourire ancré sur le visage avant de se laisser aller, succombant à un arrêt cardiaque. Ce soir-là, c’était le dernier match de la saison. Il y avait du monde dans la salle, elle était comble. Tout le monde portait des t-shirts à l’effigie de la star de l’équipe, du meneur Cameron Davis. A son arrivée sur le parquet, la foule se déchaina. Et puis les présentations faites, on débuta le match. Tout aurait pu se passer de la meilleure façon, encore une fois. Mais le sort en décida autrement. S’élançant pour smasher un dunk monstrueux, Cameron retomba mal sur son genou, et toute la salle resta silencieuse horrifiée. Il n’y a pas besoin de décrire ce qui est arrivé à Davis, juste que tous ses espoirs de draft NBA s’envolèrent ce soir-là, mais pas seulement. La douleur était vive, atroce même, mais ce soir-là, une fois le match fini après avoir été transporté à l’hôpital, il s’effondra. Ce n’était pas la blessure qui le tracassait, c’était de ne pas tenir sa promesse. Quand on lui fit état de la situation, il refusa d’y croire, il refusa de se dire que sa carrière était terminée. Il rejouerait, quoi qu’il arrive. Et il a bel et bien rejoué. Six mois plus tard, il refoulait les parquets de l’université. Et de nouveau, il se blessa. Il fut incendié par ses médecins, tous précautionneux, et soucieux de l’aggravation de la blessure. Ils opérèrent une seconde fois, mais cette fois, tout était bien terminé.
*** Après une telle déception, on fait forcément des erreurs. On accumule trop de regrets, trop de rancœur, et on finit par faire des choses que l’on regrette. Cameron s’en mord encore les doigts. A force d’accumuler des ondes négatives, à force de ne voir en la rééducation qu’inutilité et autres bêtises, il a fini par craquer. Il était en couple avec X depuis la fin du lycée. On ne les imaginait pas forcément ensemble, mais leur relation tenait la route parce qu’ils se comprenaient d’un regard, ils étaient si complémentaires qu’ils en devenaient indissociables. X l’aimait tellement qu’elle avait décidé de le suivre à Chicago quand il partit pour réaliser son rêve de basketteur. Elle poursuivit ses études là-bas, mais évidemment, avec la tournure des événements pour Cameron, elle dut se mettre à encaisser les coups durs. Elle était son épaule pour pleurer quand il perdit son père, elle fut également la motivation nécessaire après sa première blessure. Et elle aurait cru être le soutien lors de l’arrêt brutal de sa carrière qui aurait pourtant dû être radieuse. Mais Cameron était exécrable. Il ne changeait plus d’humeur. Il ne riait plus à ses blagues, il ne l’enlaçait plus le soir en se couchant, il n’avait même plus envie d’elle. Elle se sentait délaissée, et pourtant, elle s’évertuait à faire de son mieux, pour qu’il recommence à croire en la vie, en un possible avenir. Rien n’y faisait. Et un soir, telle une grenade, Cameron dégoupilla.
X rentra chez eux les bras chargés de provisions, et quand elle rentra, elle trouva Cameron en train de visionner les vidéos de ses matchs que son père avait filmés sans en manquer une seconde. Elle soupira. Il se faisait du mal à ne pas vouloir passer à autre chose. Elle vint vers lui et prit la télécommande, éteignant la télévision : « Hey, c’est quoi ton problème, tu vois pas que je regarde ? » Elle avait eu une réaction sèche, comme depuis de nombreux mois. Mais elle n’en pouvait plus de le voir se détruire. « Ca suffit, Cam’. Ca te rendra pas tes jambes de regarder ces vidéos, et ça te rendra pas non plus ton père ! Faut que t’arrêtes ! T’es en train de te foutre en l’air ! » Mais tout ce qu’elle obtint comme réponse fut un haussement d’épaules, et de la désinvolture. « C’est pas ton problème. » Elle tempêta, ayant ras le bol de ses répliques. « Si justement c’est mon problème car au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, je vis avec toi, et tu ne fais même plus attention à moi ! » Il ricana, comme s’il pensait qu’elle n’était pas sérieuse, qu’elle avait ses règles et que ça lui passerait. « Mademoiselle a besoin d’affection, pauvre chose… » Elle resta scotchée par son attitude plus qu’immature avant de lui envoyer un coussin dessus. « C’est tout ce que ça te fait ? Je passe mon temps à essayer de te redonner goût à la vie, à faire tout ce que je peux pour que tu remontes la pente, et tu crois que j’ai besoin…d’affection ?! » Elle n’en revenait pas. C’était comme si elle avait complètement perdu son copain, celui qui la taquinait à outrance, avec qui elle faisait des batailles de polochons, ou de nourriture, celui qui la berçait le soir, celui qui lui promettait monts et merveilles. Il s’agaçait, et il finit par lui rétorquer sèchement, sans réfléchir : « Tu me gonfles, okay ? J’ai pas besoin que tu m’aides, j’en ai marre de toi et tes attentions ! Tu m’étouffes, tu me laisses pas respirer ! T’as qu’à aller faire la bonne samaritaine ailleurs ! » Il ne comprenait pas où elle voulait en venir, et en plus il se mettait à être méchant. Se mordant la lèvre, elle essayait de l’affronter, mais les larmes embuaient sa vue. Malgré tout, elle se ressaisit momentanément pour lui dire : « Tu le penses pas… » Mais Cameron ne s’arrêta pas là. Il se leva du canapé, lui fit face et lui balança de nouvelles insanités : « Si. Je sais pas ce que tu fous ici sérieusement. Je sais pas ce que tu cherches avec moi, car ça fait bien longtemps que je ressens plus rien à ton égard. J’ai pas besoin qu’on me plaigne. C’est toi qu’il faudrait plaindre. Tu gâches ta vie. Parce que je t’aimerais jamais autant que ce que j’aime le basket. J’ai pas besoin de toi, tire-toi. » Et cette fois, elle ne put faire face. Les larmes coulèrent sur ses joues, et elle prit la fuite, anéantie. Dans les escaliers menant à l’appartement, qu’elle prit dans le sens inverse, elle se laissa tomber contre le mur pour se laisser aller. Elle ne comprenait pas. Mais il était allé trop loin. Ce soir-là, l’histoire entre X et Cameron se termina. Il mit un temps fou à se rendre compte qu’il avait pourtant fait l’erreur de sa vie.
Le renouveau. Un retour aux sources. Il revint à Dillon, la ville de son enfance, à tout juste vingt-deux ans, il n’avait pas envie de reprendre les études, la rééducation de ses jambes prenait une bonne partie de ses journées, et après discussions avec sa famille, chez qui il se réinstalla depuis qu’il était célibataire, afin de prêter main forte à sa mère qui se tuait à la tâche pour nourrir ses trois enfants en plus de Cameron qui revenait, il décida qu’il était temps d’honorer sa promesse d’une autre manière. Cameron allait devenir coach comme son père avant lui. Coach Davis allait renaitre de ses cendres. Il connaissait le job de l’intérieur pour avoir vu son père à l’œuvre durant toute son enfance, et il avait été un basketteur hors norme. C’était dans ses cordes. Il postula au lycée pour reprendre le poste du coach en partance qu’il avait côtoyé pendant plusieurs années, et passa une formation rapide de coaching qu’il réussit avec brio. Il fut accepté au lycée pour la rentrée 2013, et si ses débuts furent prometteurs, il a encore beaucoup à apprendre, parce que Cameron cherche à atteindre la perfection et il apprendra à ses dépens que c’est une erreur de jeunesse. L’exigeant coach n’a pas seulement envie de coacher l’équipe de basket, son but est de lui faire prendre de l’importance, de détrôner le football qu’il hait tant depuis sa tendre enfance. Pas une mince affaire. Les péripéties ne s'arrêtent pas là, car X est aussi de retour en ville...
Dernière édition par Cameron Davis le Sam 13 Sep - 23:29, édité 5 fois
Date d'inscription : 13/09/2014 Messages : 130 Pseudo/Prénom : Justboy/Sean Avatar : Derrick Rose Crédits : Justboy (avatar); heybelinda@TUMBLR (sign) Âge : 24 ans Études/Métier : Coach de l'équipe de basket
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Sujet: Re: Cameron ~ I ain't tryna do what everybody else doing Sam 13 Sep - 19:13
Merci à tous! Babylon - Oui j'ai osé! Autumn - T'inquiètes pas va, il me tarde aussi! Teofilo - Mais porte pas la poisse toi! Le pauvre! Deux saisons blanches c'est beaucoup!
Sujet: Re: Cameron ~ I ain't tryna do what everybody else doing Dim 14 Sep - 10:10
Validation
« Bienvenue au Texas ! »
Bienvenuuuuuuue sur Long Live texas
Tout d'abord félicitations, tu as passé avec succès l'étape la plus importante (et parfois la plus enquiquinante), celle de la fiche de présentation Tu es maintenant validé(e), et tu vas donc pouvoir prendre part à la vie du forum Il va falloir recenser ton avatar par ici (attention si tu l'as réservé pendant ta fiche, il faut quand même repasser pour le "valider") afin de ne pas devoir changer de tête si jamais quelqu'un voudrait tenter le même avatar Tu peux également venir faire diverses demandes comme intégrer un club, recenser ton métier ou ton logement ! Tu pourras également contacter le staff si jamais tu souhaites changer ton avatar, ton personnage ou bien demander un nouveau compte Si tu désires créer un scénario ou des liens comme ta famille, tout se passe ici. Il ne faut pas non plus oublier la fiche de liens, attention c'est classé par sexe Sur LLT, tu as aussi la possibilité de te créer un journal intime, un téléphone ou encore un compte instagram Et enfin, tu peux te divertir par là ou exposer tes oeuvres d'art ici. Bon jeu sur LLT et amuse toi bien
whaaa j'ai vraiment adoré ta fiche, ta manière d'écrire, c'est vraiment top ! bon rp