Babylon Jules Parker. Baby ou Jules pour les intimes. Née un certain 25 décembre 1997 dans une famille modeste et sans histoires, Baby fait rapidement preuve d'un tempérament de feu allant à l'encontre de la petite vie modèle sois disant faite pour elle. Plus jeune d'un an que son frère Brooklyn, elle voit d'abord en celui ci un pilier, un allié, avant qu'il ne retourne sa veste prenant le partit de ses parents. Puis vint Tex, un an de moins qu'elle est pas réellement appréciée. Trop parfaite, trop aimée. L'opposé exact de ce que Baby représente. Le jour et la nuit. La glace et le feu. Une mésentente parfaite. Une solitude à toute épreuve.


Souriante la plupart du temps et attachante malgré mes mauvais côtés. Je déteste peut être le foot mais ça ne m'empêche pas d'apprécier les gens qui aiment ce sport là. Et même que je suis bilingue, Espagnol les gars. Intelligente, mature et sûre de moi. Imprévisible, casse cou et avide de sensation. Drôle, naturelle et fidèle aux gens que j'aime. Spontanée, amusante j'dirais au final attachiante. Paraîtrait aussi que je suis sauvage, que je ne me laisse pas facilement approcher et qu'il est plutôt compliqué de cerner la personne que je représente. Je suis beaucoup trop franche aussi, tellement que ça en fait un défaut et je ne me retiens jamais de dire ce que je pense de tel ou tel personne. D'ailleurs, je mets souvent les pieds dans le plat, s'il y a quelque chose à ne pas dire, sachez que moi, je le dirais. Un peu trop nerveuse, j'ai tendance à "rentrer" dans les gens quand quelque chose ne me plait pas et ne me laisse par marcher sur les pieds mais ça peut être utile parfois.

Vous est-il déjà arrivée de croire que la vie n'était qu'un jeu ? Un vulgaire jeu ou chaque personne finit par abattre ses cartes sans laisser la moindre issue de secours à son prochain ? Un simple jeu ou la chance ne fonctionne pas pour certains. Ou les cartes sont parfois si mauvaises qu'il ne reste aucune autre option que créer sa propre destruction. Je ne connais pas mon jeu, je ne sais pas si les cartes que je possède sont bonne ou mauvaise et surtout, je n'ai aucune idée de l'issue du jeu. Est-ce que j'arriverais à faire quelque chose de remarquable ? A sortir du lot ? Ou alors, sombrerais-je simplement dans l'oublie en n'étant que Baby, la fille ingrate de ce merveilleux couple cheer/footballeur ?



Notre rencontre est des plus singulières. C'est peut être pour ça que notre lien semble si indéfectible. Parce qu'on a pas commencés comme les autres et que quelque part, les choses ont toujours eu ce plus que j'aime tant. Il me semble qu'il ne peut y avoir meilleur ami que Liam Jefferson. A lui tout seul, il illumine le monde d'une douceur et d'une générosité sans pareil. Bête sont ceux qui ne lui accordes pas plus d'attention. J'crois que même dans mes moments de déroutes, il est restés sans conteste la bouée d’amarrage à laquelle je pouvais me raccrocher dans n'importe quelle circonstances. Alors même si nos chemins venaient à se séparer, je reste sûre d'une chose. Si un jour on venait à me demander qu'est ce qui a le plus marquée ma vie, ma réponse serait plus qu'évidente et sans aucune once d'hésitation. Liam.

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D'aussi loin que je me souvienne, Autumn à toujours fait partit de ma vie. J'pourrais pas citer exactement la date de notre rencontre mais, il me semble que ni elle ni moi n'étions encore capable d'aligner deux phrases correctement. Et pourtant, on s'comprenait. On avait nos signes, nos trucs. Si différente et si complémentaire à la fois. Même maintenant, les choses n'ont pas vraiment changés. Nos idéaux n'ont aucun point commun et il est évident que nos passions ne nous réunissent pas mais, elle reste ma meilleure amie. Alors inévitablement, elle ce truc qui la rend si spéciale à mes yeux. Parfois, les ressemblances ne suffisent pas à accorder deux êtres. Parfois il faut beaucoup plus que ça. Et quand vous trouverez la personne capable de vous comprendre en un seul regard. Quand sans même dire un mot, cette personne pourra analyser ce qui va ou pas, alors seulement à ce moment là, vous pourrez dire que vous avez trouvez votre moitié. Parce qu'à travers nos silences on se comprend et qu'au final, nos secrets nous rapproches.

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Nb : L'amitié parfaite devrait être une sorte de solitude heureuse, expurgée de sentiment d'angoisse, de rejet et d'isolement. Ce n'est pas une simple histoire de double où l'image de soi serait passée par un filtre, un examen qui en grossirait les défauts, les manques et en réduirait les qualités. Le regard de l'ami devrait nous livrer notre propre image avec exigence. L'amitié se tiendrait alors dans une réciprocité sans faille, guidée par le même principe d'amour : le respect qu'on se doit à soi-même pour que les autres nous le rendent, naturellement.  .

Selon certains penseurs, ce n'est pas le hasard qui réunit les êtres. Si nous appartenons à une même famille, c'est parce que nous avons quelque chose à construire ensemble. Nous devons, à travers notre singularité, nos forces, nous aider les uns les autres à avancer dans la vie, lui donner un sens, atteindre un but. → Thierry Cohen

J'ai toujours trouvée cette citation particulièrement fausse. Peut être parce que dans ma singularité à moi, j'ai jamais vraiment réussi à m'unir avec eux. Comme si mes forces n'aidaient personne maus qu'au contraire, elles ne faisaient que créer un fossé entre ce que je représente et leurs idéaux. J'ai longtemps cru que j'avais un problème, un défaut de fabrication. Puis j'ai fini par comprendre que je n'étais peut être juste pas avec les bonnes personnes et que si ma propre famille n'était pas capable de m'accepter avec mes divergences, il était peut être temps d'arrêter de se battre.



J'crois que ma plus grande erreur a été de croire qu'un jour on pourrait être proche. Au final, je ne sais plus trop si les choses viennent de moi, ou bien de lui. Je ne sais plus vraiment la cause de ce dénouement, mais il est clair que malgré tout mes efforts, aussi peu soit-il, je n'ai jamais réussi à briser la barrière construite entre nous. Alors bien sûr, je prend en compte le fait que certaines choses viennent de moi, et que mon détachement total joue beaucoup dans la situation mais.. J'suis incapable de réparer les choses. Peut être parce qu'elles sont trop brisés et que parfois, il est impossible de rassembler les pièces d'un puzzle usés. Et c'est quand je crois que tout est perdue qu'on retrouve nos instants, nos manies. Des silences, de l'affection et des soirées qui me permette de me sentir plus vivante. Je sais que j'ai besoin de lui, j'ai terriblement besoin de lui mais il me semble trop compliqué de le dire.




Est ce que je pourrais réellement exprimer ce que je ressens pour toi à travers une stupide feuille de journal ? Sûrement pas. J'crois qu'avec le temps, tout s'est mélangé. Et c'est quand je te déteste le plus que j’aperçois que je t'aime encore. Comment ne pourrais je pas t'aimer ? Comment pourrais je ne pas te détester ? J'crois que c'est une collision de sentiment, un trop plein d'incompréhension qui font qu'au final, on est incapable de se supporter. Je hais tes allures de petite fille parfaite, je hais tes manières de gamines effrontés, je hais tes remarques agaçante et le plaisir que tu prends à me faire vriller. Mais par dessus tout, je hais de t'aimer encore, d'être prête à n'importe quoi pour toi et d'être incapable de te dire que je tiendrais toujours à toi.


Nb : Une petite soeur, elle l'est pour tout le temps, c'est pas comme pour les amoureux ou les trucs comme ça, une petite soeur, même quand t'es à quinze kilomètres ou si tu fais des choses, ou si tu fais rien, elle est toujours dans ta poche d'amour éternel. Toujours..