Date d'inscription : 12/10/2014 Messages : 13 Pseudo/Prénom : yellowgreen (léa). Avatar : britt robertson. Crédits : alaska. Âge : seize ans. Études/Métier : lycéenne, obviously, et dog walker.
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Sujet: poor little rich girl (nina). Dim 12 Oct - 2:56
(Rikke) Nina Humphrey
« give me love like never before »
NOM : Humphrey, nom qu'elle tient de son paternel. PRENOM(S) : après avoir fait une crise à l'âge de neuf ans à ses parents, ses derniers ont accepté d'utiliser son second prénom au lieu du premier. Depuis, tout le monde l'appelle Nina et non plus Rikke. Elle ne l'a cependant jamais changé légalement, au fond elle l'aime bien. DATE DE NAISSANCE : le six juillet de l'année 1998. LIEU DE NAISSANCE : à New York. ORIGINE : américaine pure souche du côté de son père et à moitié danoise du côté de sa chère mère. NATIONALITÉ : américaine. MÉTIER/ETUDE : lycéenne, junior year, et dog walker. GROUPE : I know what is a touchdown. AVATAR : britt robertson. QUALITÉS : intelligente, extravertie, attentionnée, féminine, élégante, maline, souriante, vive d'esprit, énergique, marrante, mature. DÉFAUTS : sarcastique, changeante, gourmande, garce, sensible, têtue, peste, menteuse, caractérielle, chiante, manipulatrice, capricieuse, contradictoire, rancunière, fière, gamine, curieuse.
PRENOM : léa. AGE : vingt-ans depuis peu. COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : j'avais suivi de loin le projet sur bazzart. CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : oui, mais je n'ai pas vu énormément d'épisodes. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : scénario de charlotte. UN PETIT MOT :
yellowgreen
Dernière édition par Nina Humphrey le Ven 24 Oct - 15:42, édité 3 fois
Date d'inscription : 12/10/2014 Messages : 13 Pseudo/Prénom : yellowgreen (léa). Avatar : britt robertson. Crédits : alaska. Âge : seize ans. Études/Métier : lycéenne, obviously, et dog walker.
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Sujet: Re: poor little rich girl (nina). Dim 12 Oct - 2:56
the story of my life
« I've only got myself to blame for it, and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again but it's not that easy. »
✩ and the world keeps spinning. Yeah, the world keeps spinning around. à travers la vitre sale de son taxi, elle contemplait la ville. Sa ville. New York. Et ses lumières. Celles qu'elle n'avait jamais vraiment vu auparavant. Celles qui crépitent souvent au-dessus de ses yeux endormis. C'était à peine l'aube. Bien trop tôt pour elle, d'habitude. Quel dommage. Elle aurait pu en profiter avant. Avant son départ. Son voyage, comme disait sa mère. Bon voyage, bon voyage, bon voyage. Ces deux mots tournoyaient dans son esprit, elle n'entendait plus que ça. Inlassablement, minute après minute. Mais ce n'en est pas un. On l'exilait. Ils le savent tous, chez les Humphrey. Et, Nina, elle sait même pas quand elle reviendra. Si elle renvient. Bon dieu, elle pleurerait bien. Pour de vrai, avec des soubresauts et tout ça. Mais la voix de sa mère la hante encore un peu plus. Et son mantra apparaît dans on esprit déboussolé ; il faut toujours garder la tête haute, les apparences avant tout, ma petite Nina. Rapidement tous ces mots ne deviennent que du bruit, un bruit assourdissant. Un brouhaha. Elle a mal à la tête, Humphrey. Sauf que ce n'est pas pour ça. C'est ses larmes qu'elle refuse de faire sortir (il faut bien faire honneur à sa mère, après tout), le contrecoup de la révélation aussi. Le choc qu'ils ont eu, les parents. S'en était presque marrant. Presque. Mais elle n'a pas ri, Nina. Même pas sourit. Depuis samedi. Privée de tout. Et, la blonde, elle sait qu'elle a déconné alors elle est morose. Elle se punit elle-même, aussi. C'est normal, peut-être. Enfin, elle sait pas. Elle a jamais vécu ça. Bah quoi, c'est vrai, c'est la première fois qu'elle se fait prendre. Complètement défoncée en plus. Du cannabis seulement, et heureusement. Il est rentré dans une colère monstre, son père. Lui, l'avocat tout sauf véreux, en a pris un coup. Il a pleuré, parce qu'au fond, c'est toujours un petit gars de la campagne le père Humphrey. Et sa mère, fidèle à elle-même, s'est assurée que personne n'était au courant. Parce que c'est le plus important, pas vrai ? Deux heures plus tard, on lui glissait un billet d'avion sous sa porte. Elle a rien fait, Nina. Pour les faire changer d'avis. Ils auraient pas accepté de toute façon. Elle avait déjà accepté sa situation, elle s'y attendait. Car, au fond, Nina, elle comprend. Elle sait qu'elle doit partir, elle a été aspirée dans un tourbillon incontrôlable. C'est ce qu'une addiction vous fait. Alors, partir est la seule solution, mais ça la tue. Tellement. Ses yeux se remplissent de larmes. Nina, elle ne voit qu'une seule chose à faire, respirer un bon coup. Mais l'air du taxi l'étouffe alors elle ouvre la fenêtre et c'est là qu'elle s'en rend compte. Les rues sont désertes. Les routes qu'elle connaissait bondées sont vides, d'un vide effrayant. Un signe de l'univers, à ses yeux. C'est comme s'il voulait à tout prix qu'elle parte d'ici. Nina, elle est loin de la vérité. Elle le sait, mais c'est l'impression que ça lui donne sur le moment. Son coeur se serre, il lui fait mal. Un peu. C'est supportable. L'air frais s'engouffre dans la voiture, sa tête tape moins, c'est déjà ça. L'obscurité s'est dissipée, le soleil n'est pas encore levé. Trop tôt. On l'a jeté dans un taxi à l'heure où tout le monde dort. Comme une voleuse. Bientôt, enfin dans quelques dizaines de minutes, elle recevra un message de Charlotte. Comme d'habitude. Excepté qu'il restera sans réponse. On lui a ordonné de couper les ponts et sans trop savoir pourquoi, elle obéit. Nina, elle a l'impression de n'être plus qu'un robot. À faire des choses sans vraiment penser, réfléchir. Elle les fait avec une sorte d'automatisme. Sans rien voir, comme si elle avait éteint une partie de son cerveau. Et c'est comme ça qu'elle ne reprendra conscience qu'en revoyant ces lumières, celles de la ville alors qu'elle est dans les airs. En train de voler. Elle a fait un blocage sur tout, mais les lumières l'ont ramenée. Mais elle se concentre sur les tours, Nina. Qui sont habitées, maintenant. Tout le monde est au travail, ou presque. À l'école, aussi. Charlotte. Nina n'arrive même pas à aller plus loin dans ses pensées à propos de sa meilleure amie. Trop dur. Ses yeux ne peuvent néanmoins pas quitter les hublots, elle a ce sentiment étrange au fond d'elle. Celui qui vous dit qu'il faut en profiter. Et elle laisse ses larmes rouler cette fois, Nina. Parce qu'il y en a une armée, un bataillon, et c'est trop fort pour elle. La blonde sait que ce n'est pas une bataille qu'elle gagnera. Les larmes sont trop nombreuses. Et bon dieu, que ça fait du bien. Tellement de bien qu'elle se contente d'un petit sourire quand son voisin lui offre un mouchoir. Pas de réplique acerbe, rien qu'un sourire mi-triste, mi-reconnaissant. Il en sait rien lui, de ce que qu'elle a fait. Et ça lui donne de l'espoir, Nina, grâce à ce vieillard. Elle prend tout ce qui lui vient, de toute façon. Elle est désespérée, la blonde. Finalement, ce n'est peut-être pas la mort de partir quelque temps. Socialement si, mais le monde continuait à tourner. Les gens continuaient et continueraient à vivre. Peut-être que je devrais faire pareil songea-t-elle alors, essuyant ses joues une dernière fois le visage vissé sur l'extérieur. Voulant regarder la ville disparaître et non l'inverse. Pour avoir cette sensation de pouvoir. De victoire.
✩ it's just like falling to your knees before a stranger on the street. elle ajustait sa queue de cheval, Nina. Humectant ses lèvres pour les rendre brillantes, ça plaisait aux joueurs de football et ça lui plaisait de plaire. L'histoire la plus bateau au monde. Son cousin la regardait d'un oeil désapprobateur avant d'en lancer un dédaigneux à ses coéquipiers. C'était devenu un peu son frère et elle sa soeur. Nina trottina vers lui, qu'il croyait, avant de finalement s'arrêter à deux centimètres du linebacker. Il les regardait, l'air furieux. Elle faisait exprès, la blonde. Elle riait un peu trop fort aux boutades de Jim, c'était son prénom, pour embêter son cousin et attirer l'attention des autres. Autres joueurs, autres cheerleaders. De tout le monde. À son arrivée, elle était un peu la proie à abattre. C'était une New-yorkaise, non de dieu ! Elle dérangeait, détonnait aussi. Ça lui plaisait quand même. De l'attention, c'est de l'attention. Les réminiscences de son passé de lycéenne à New York ne faisaient que remonter à la surface. Nina était et avait été le centre d'attention dans les deux cas. Comme à cet instant. Les autres footballeurs jalousaient un peu Jim, ceux qui ne s'étaient pas encore fait remarquer par Nina. Les pauvres. N'avaient-ils donc pas encore compris qu'ils n'étaient que distractions à ses yeux ? Des jouets jetables ? Non, bien sûr que non. Ça la faisait sourire, Humphrey. Son cousin, non. Au contraire. C'est pour cela qu'elle prenait un malin plaisir à s'afficher avec Jim, le quarterback ou n'importe quel membre de l'équipe. Rien ne se passait jamais, oh ça non, mais ça l'amusait. Tellement que ça en devenait puéril. Elle n'avait que dix-sept ans, Nina, après tout. Qu'une gamine sous cette apparence de femme qu'elle se donnait. Cinq minutes, c'est tout ce qu'il fallut à son cousin pour la tirer par le coude. Prévisible. Bah qu'est-ce qu'il se passe, Humphrey ? T'aimes pas que je te laisse dans un coin ? Vrai. Elle remuait le couteau dans la plaie, Nina. Il la poussa vers ses "amies", message reçu. Alors, elle recommença à s'étirer. Que pouvait elle faire d'autre à part le regarder de travers (elle le faisait déjà) ? Son esprit n'était pas focalisé sur son échauffement, cependant. Le coach paraissait, comment dire, nerveux ? Oui, c'était ça. Qu'y avait-il donc ? Nina échafaudait des théories toutes plus improbables les uns que les autres quand elle entendit sa voix rauque envahir l'atmosphère. Il allait enfin cracher le morceau. Peut-être, qu'en savait-elle ? Rien, mais elle voulait que ce soit le cas alors, guidée par sa curiosité, elle s'installa aux côtés de son cousin. Ignorant le pauvre Jim qui paraissait ô combien déboussolé par le peu d'intérêt soudain, elle l'ignorait. Il ressemblait à un chiot soudainement. Celui à qui on enlève un jouet. Il était évident que le coach faisait une annonce générale, qu'est-ce qu'elle détestait ça Nina. Elle n'était pas concernée, certes. Foutue curiosité. Peu d'entre vous le savent, un nouveau coach ... elle n'écoutait plus, trop ennuyant. Pfff. Si un silence de mort ne s'était pas installé (ses coéquipières étaient elles aussi hypnotisées) l'adolescente aurait veillé à redevenir le centre d'attention. C'est là que Castiel entra dans son champ de vision, elle se contenta d'un sourire. Nina elle savait qu'il aurait été blessé, son cousin, si elle avait fait plus que cela. Il ne l'appréciait que peu, il lui semblait. À son avis, il représentait l'ancienne vie de Nina pour lui (un peu à ses yeux aussi) et il avait peur de redevenir le second choix, celui qu'on ignore par choix, mais auquel on donne aussi son attention par moments. Quand on en a envie. Celui qu'on cache, dont on a honte. Mais elle n'a jamais eu honte de lui, la blonde. Il ne le sait seulement pas, c'est triste. Simplement elle ne leur avait jamais dit, à ses amis, que sa famille venait d'un trou perdu du Texas. Qu'ils avaient fait fortune grâce au pétrole, il y a bien longtemps. Sa mère lui avait interdit, elle en avait honte. Elle qui venait de la petite bourgeoisie danoise. Alors, inconsciemment, c'était devenu une honte pour elle aussi. Mais maintenant, maintenant, elle était fière de venir d'ici, d'avoir du sans Texan dans ses veines. Enfin bref, dans tous les cas Nina n'adressa qu'un sourire à Castiel. Il l'avait rejoint peu de temps après son arrivée. Elle n'avait jamais vraiment su pourquoi, Humphrey. Jamais elle n'avait demandé, non plus. Elle emprunta la gourde de Jim, qu'il avait l'air heureux. Il fallait bien s'occuper, non . Et le soupir de son cousin ne lui donna que l'envie de continuer. Son regard sérieux, d'un autre côté, lui donna l'impression de voir son père. Le sien, à elle. Et, Nina, elle ne put qu'écouter le coach. Et c'est pour cela que Monsieur Jefferson, coach Nolan Jefferson, commencera ... La blonde toussota quelque peu, tachant tant bien que mal de ne rien recracher. Quelle honte elle aurait eu ! Jefferson, avait-elle bien entendu ? Le père de Charlotte, coach ici à Dillon ?! Cela était impossible, elle avait mal entendu. C'est que qu'elle se disait, histoire de se rassurer. Fallait bien. Et elle toussote Nina, encore et toujours. Pour se donner une certaine contenance. Mais son cousin, il n'est pas bête. Il sait qui sont les Jefferson. Il sait, oh là. Et elle a les larmes aux yeux. Elle avait eu raison ce matin, c'était bien le jumeau de Char qu'elle avait aperçu. Liam. à l'autre bout du couloir, comme par magie. Excepté qu'elle était celle qui avait disparu en deux secondes. Le coeur bringuebalant, adossée à la porte des toilettes. Elle avait pensé que son esprit lui jouait des tours, que Charlotte lui manquait trop. Elle n'avait d'ailleurs pas compris pourquoi c'était Liam qu'elle avait vu, mais après tout, l'esprit humain est un mystère. Nina avait envie de vomir, métaphoriquement parlant. Son cerveau marchait à trois mille à l'heure, elle était perdue. Charlotte, dans sa ville. Sa meilleure amie. Ou ancienne. Mon dieu. Elle ne savait même plus comment respirer proprement. C'était surréaliste, voilà le mot. Incroyable, impensable. Et peut-être qu'elle le délaisserait, son cousin finalement. Qu'elle redeviendrait un peu comme avant, comme la Nina de New York. Celle qu'elle était avec Char. Et ça lui faisait un peu peur, sans mentir. Même si elle avait la même réaction en remarquant qu'elle n'était plus celle qu'elle était avant. C'était trop, Nina elle sentait les regards sur elle alors qu'elle s'apprêtait (probablement) à fondre en larmes. Alors, sans un regard pour quiconque, elle leur tourna le dos. Au pas de course. La voix de son cousin parvint à ses oreilles, mais ses paroles ne lui étaient adressées. Mais elle savait qu'il lui courait après, désormais. Nina ! Elle stoppa enfin sa course effrénée. Il arriva à son niveau. Charlotte elle est ici. Il le savait aussi bien qu'elle, mais elle avait eu besoin de le dire. Je-Je. On y va, j'ai dit que tu ne te sentais pas bien. Elle s'appuya contre lui pour marcher, les jambes tremblantes. Elle était sous le choc, Nina. Voilà tout. Elle se glissa tant bien que mal dans la voiture, leur immense 4x4. L'air climatisé lui faisait du bien, elle avait toujours besoin d'air, de pouvoir respirer quand ça allait mal. En un rien de temps, tout s'arrangeait. S'améliorait du moins. Déjà, là, elle était plus calme. Yaourt glacé ? Yaourt glacé. Sa voix n'était pas des plus assurée, mais elle souriait d'une oreille à l'autre. Son cousin était une constante dans sa vie. Toujours là pour elle.
Dernière édition par Nina Humphrey le Ven 24 Oct - 15:49, édité 4 fois
Date d'inscription : 12/10/2014 Messages : 13 Pseudo/Prénom : yellowgreen (léa). Avatar : britt robertson. Crédits : alaska. Âge : seize ans. Études/Métier : lycéenne, obviously, et dog walker.
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Sujet: Re: poor little rich girl (nina). Ven 17 Oct - 19:49
awn hennig (c'était ma préférée dans the secret circle ) meeeeeerci beaucoup !
et je voulais poster l'intégralité de ma fiche avant 21h, mais je crois que je ne vais pas avoir le temps vu qu'il me reste quelques petites choses à arranger enfin breeef. Ne me supprimez pas si mon délai est dépassé (pleeeease) à la réouverture, ce sera posté.
Date d'inscription : 16/10/2014 Messages : 31 Pseudo/Prénom : May. Avatar : Barbara Palvin. Crédits : Pretty Young Thing Âge : 18 ans. Études/Métier : Encore aux études secondaires.
Sujet: Re: poor little rich girl (nina). Lun 20 Oct - 2:51
Date d'inscription : 12/10/2014 Messages : 13 Pseudo/Prénom : yellowgreen (léa). Avatar : britt robertson. Crédits : alaska. Âge : seize ans. Études/Métier : lycéenne, obviously, et dog walker.
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Sujet: Re: poor little rich girl (nina). Mer 22 Oct - 2:19
charlie + meeeerci karyngthon + merci anaëlle + désolée du retard, depuis samedi je n'ai pu passer que très très rapidement sur l'ordinateur mais je poste ma fiche "demain" en me levant (ou le soir maximum si je ne n'allume pas mon pc avant). J'espère que c'est bon pour vous .
Date d'inscription : 29/06/2014 Messages : 715 Pseudo/Prénom : exotic (Sarah) Avatar : Eliza Taylor-Cotter Crédits : exotic | BLINI♦SOUL Âge : 21 ans Études/Métier : Lycéenne, Senior
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Sujet: Re: poor little rich girl (nina). Mer 22 Oct - 7:51
Très bien, parce que l'autre Nina a terminé Du coup, elle attends que tu puisses finir pour qu'on départage ! Tu as donc deux jours maxi pour la poster