Date d'inscription : 17/09/2014 Messages : 27 Pseudo/Prénom : S. Avatar : Colin O'Donoghue Crédits : Timetodance (avatar) Âge : trente cinq ans Études/Métier : Avocat
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Sujet: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Mer 17 Sep - 5:07
Blackheart, Adrian Raphaël
« Somewhere between laughing for no reason, stupid arguments, and making fun of each other, I fell in love with you. »
NOM : Blackheart PRENOM(S) : Adrian DATE DE NAISSANCE : 24 décembre 1978. (merry christmas!) LIEU DE NAISSANCE : Irlande, plus précisément à Dublin ORIGINE : Irlandaises du côté maternel et Américaines du côté parternel NATIONALITÉ : Irlandaise MÉTIER/ETUDE : Avocat GROUPE : Deal with it AVATAR : Colin O'Donoghue QUALITÉS : Généreux - Drôle - Sociable - Charmeur - Persévérant. DÉFAUTS : Sarcastique - Beau parleur - Têtu - Manipulateur - Impulsif - Buté - Téméraire.
PRENOM : On va y aller avec S. AGE : 24 ans (en espérant que ce ne soit pas trop vieux... si c'est le cas, on va dire 18 ) COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : Honnêtement, je n'en ai aucune idée... C'était soit par bazzart, soit par top-site. CONNAIS-TU LA SÉRIE FRIDAY NIGHT LIGHTS : nope pas du tout. Le nom me dit quelque chose, mais ça s'arrête là. *va faire une recherche google* PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO : Scénario de la belle Juliet UN PETIT MOT : Vive google et vive moi pendant qu'on y est
S.
Dernière édition par Adrian Blackheart le Lun 22 Sep - 17:28, édité 6 fois
Date d'inscription : 17/09/2014 Messages : 27 Pseudo/Prénom : S. Avatar : Colin O'Donoghue Crédits : Timetodance (avatar) Âge : trente cinq ans Études/Métier : Avocat
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Sujet: Re: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Mer 17 Sep - 5:07
the story of my life
« everybody's looking for that something »
❉ IL RESTE TOUJOURS QUELQUE CHOSE DE LE NAISSANCE, TOUJOURS • On pourrait croire que le fait de naître dans une famille aux moyens économiques aisés facilite la vie d'un enfant, mais ce n'est qu'idée préconçue. Vivre dans le luxe ne vous empêche pas d'espérer un peu d'attention de la part de vos parents. Il faut dire que je suis le centre de dispute de mes parents depuis plusieurs années. Étant déjà choyés de la présence de deux garçons dans la famille, mes parents souhaitaient à tout prix avoir une fille. Mais voilà, on obtient pas toujours ce que l'on souhaite et c'est moi qui ai montré le bout de mon nez plutôt qu'une petite demoiselle. Ne croyez pas à tort que j'ai manqué d'amour, mais j'ai toujours eu l'impression d'être la troisième roue du carrosse, surtout avec mon père. Il faut bien avouer qu'en fait, je n'étais pas un ange. Je criais sans cesse et au lieu d'apprendre à marcher en premier, comme tous les enfants normaux, je donnais l'impression de ne savoir que courir. Écrire sur les murs et piquer des crises effroyables lorsque je n'aimais pas le repas qu'on m'offrait n'aidait en rien ma cause. Je leur donnais du fil à retordre, c'est une évidence.
À la naissance de ma soeur, alors que je n'avais que six ans, les choses sont allées de mal en pire. Accueillie comme si elle était le Dalaïlama en personne, mes parents n'avaient de yeux que pour sa petite bouille d'ange. Naturellement, j'ai très mal encaissé l'arrivée de la petite Brianna dans la famille. Si vous me le demandez aujourd'hui, je nierai jusqu'à ma mort, mais je me souviens avoir craché quelques fois dans ses compotes, petit sourire en coin. Comme si, à peine née, elle pourrait comprendre qu'elle n'était pas la bienvenue avec ce petit geste cruel et retourner dans le ventre de notre mère. Il faut dire qu'à l'âge que nous avions, on ne réfléchit pas vraiment. Elle, désirait seulement manger, dormir et qu'on change ses couches. Moi, je voulais seulement que mes parents et plus spécialement mon père, ne fasse autre chose de ses journées que travailler et border Brianna.
✄ IL ARRIVE QUE LE CHANGEMENT SOIT NÉCESSAIRE • Au suicide de mon oncle, dont je ne me rappelle pas le moins du monde, mon père a décidé qu'il serait bon pour nous tous de déménager. Nous aurions très bien pu emménager dans la ville voisine ou une région annexe, mais non. Il a décidé que l'Irlande toute entière lui rappelait son enfance et a pris l'initiative de nous envoyer tous en Belgique. À l'époque, je venais tout juste d'avoir dix ans. J'aurais certainement fini par m'y habituer, s'il n'avait pas décidé ensuite de nous installer en France, puis en Suisse, au Canada et enfin, en Amérique. Pourquoi décider de poser les valises en Amérique et de ne plus déménager par la suite? Parce que ma soeur avait entrepris des cours de danse et qu'il ne voulait pas la dépayser. C'est donc à l'âge de 15 ans que j'ai obtenu ma nationalité américaine, sans la désirer. Aujourd'hui encore, j'ai l'intention de retourner dans mon pays natal une fois ma retraite entamée.
✄ LA MAGIE DU PREMIER AMOUR EST D'IGNORER QU'IL PUISSE FINIR UN JOUR • Vous rappelez-vous de votre premier amour? De la première fois où vous vous êtes senti bête devant une femme? Moi je m'en rappelle, comme si cette scène s'était déroulée le jour précédent. Je la regardais depuis plusieurs semaines. Je la savais être célibataire de bouche à oreille. Elle se prénommait Elena. C'est son sourire qui m'avait fait fondre. Cette fille illuminait une pièce entière avec un simple rictus. Mon problème? J'étais loin d'être à la hauteur. Le simple fait d'aller lui adresser la parole aurait été un affront vis-à-vis de cette beauté inégalable. Je la regardais donc en silence, exaspérant mes amis qui tentaient de me persuader que je n'allais jamais pouvoir lui avouer mon béguin si je n'allais pas vers elle. C'est ainsi que la pire idée du siècle a germée dans mon esprit. Aidé de mon meilleur ami de l'époque, j'ai réussi à obtenir son numéro de téléphone en harcelant l'une de ses connaissances. Un peu obsessionnel? Sûrement. Ce que vous ne savez pas, c'est qu'en douce, je déposais des timbres dans son casier tous les jours, depuis plus d'un an, sachant qu'elle les collectionnait. Alors un peu plus ou un peu moins.... l'important était que j'arrive à lui adresser la parole alors qu'elle n'était pas entourée par ses amies et potentielles ennemies pour moi.
Quoi qu'il en soit, j'ai pris mon courage à deux mains, un soir, et je lui ai téléphoné pour l'inviter à sortir un de ces jours. Pourquoi était-ce la pire idée du siècle? Non, ce n'est pas parce qu'elle a refusé. C'est plutôt parce que sans le savoir, c'est sa mère que j'ai invité, puisque c'est cette dernière qui avait répondu à mon appel. Je ne vous raconte pas le malaise lorsque j'ai essayé de lui expliquer que c'était une erreur, alors qu'elle me harcelait de l'autre côté du combiné, me demandant qui j'étais et comment j'osais inviter une femme mariée et heureuse en ménage. J'aurais très bien pu laisser couler et inviter Elena le soir suivant, mais au lieu de cela, j'ai commencé à draguer ses amies. Pourquoi? Aucune idée. J'avais remarqué qu'elle me faisait des yeux doux et Elena commençant à sortir avec le footballeur du lycée, je n'avais plus aucune chance de la séduire.
❉ SE FAIRE REMARQUER N'EST PAS TOUJOURS LE BUT ULTIME • Alors que je ne me croyais pas à la hauteur avec ces dames, je me suis bien vite rendu compte que mon regard ténébreux, les blagues douteuses que je faisais occasionnellement aux professeurs et mon attitude de rebelle plaisait aux demoiselles. J'ai donc commencé à fumer et sécher quelques cours, au grand dam de mes parents qui me croyaient sur la voie de rédemption. Malgré tout, je conservais mes bonnes notes, attentif en cours lorsque je ne m'amusais pas aux dépends du professeur qui m'enseignait. Mais les bonnes notes ne suffisaient pas à obtenir une quelconque attention de la part de mon père. Il désirait que j'entreprenne des études supérieurs et mon attitude allait me perdre, selon lui. Ce n'est pas faute d'avoir essayé de lui plaire, seulement mes deux frères ainés étant partis de la demeure famillial, il avait commencé à s'apercevoir que j'existais et voulait diriger mon avenir. Tout ce que j'entreprenais n'était pas assez glorieux pour lui. Si bien que lorsque j'ai décidé de devenir avocat, il a marmonné dans sa barbe que j'aurais dû envisager des études plus prestigieuses et me lancer en médecine. J'ai l'impression que le fait de ne pas avoir suivi ses conseils l'a insulté, en quelque sorte, mais le métier d'avocat était celui qui me correspondait le mieux, selon moi. J'avais de l'aisance à captiver les autres lorsque je prenais la parole et il m'était facile de charmer, simplement en souriant ou en lançant une blague. Mais si j'étais devenu maitre dans l'art de faire plaisir à ma mère, mon père, lui, restait de marbre. Notre relation déjà presque inexistantes à mes yeux se dégrada donc rapidement, les débats verbaux commençant à prendre de l'ampleur entre nous. Avec un peu de recul, je me rend compte que nous sommes semblables, lui et moi. Deux têtes de mules incapables de changer de position.
❉ CHANGER, DE NOUVEAU, D'AIR, N'EST PAS TOUJOURS BÉNÉFIQUE • Décidé à éviter les crises et les engueulades avec mon paternel, j'ai décidé de déménager à Dillon, le jour même de mes vingt ans. Pourquoi Dillon? Car c'est l'endroit où s'était installé mon frère ainé, Steven. Les années suivantes se passèrent sans encombre, réussissant mes études avec brio et flirtant à droite et à gauche, au gré de mes envies. Mon frère, quant-à-lui, avait donné naissance à un fils, maintenant âgé de quatorze ans. De mon côté, j'en avais vingt-sept. Bien que je n'étais pas le meilleur exemple à suivre, son fils Benjamin et moi étions très proches. Il n'était pas rare que je passe la soirée chez Steven pour discuter avec Ben et qu'il me raconte ses amours et ses envies d'avenir. C'est la raison pour laquelle j'ai cru à une mauvaise blague lorsque mon frère me téléphona un soir, pour m'apprendre que mon neveu avait décidé de mettre fin à ses jours. Apparemment, il s'était pendu dans sa chambre. C'est sa mère qui l'avait trouvé, en revenant du travail. À l'époque, j'ai encaissé la nouvelle sans broncher, laissant le deuil à mon frère et sa femme. Mais depuis ce drame, j'ai tendance à péter les plombs lorsqu'on le mentionne ou qu'on parle de suicide.
❉ LA VIE CONTINUE • Steven s'étant installé dans une ville voisine, je me retrouve donc seul à Dillon. J'aurais très bien pu décider de changer d'air de nouveau, mon père m'y ayant habitué durant mon enfance, mais je n'en ai rien fait. J'aime bien cette ville. Je ne compte pas y rester éternellement, l'Irlande étant mon pays natal et celui où je compte mourir, mais c'est l'endroit où je désire rester pour le moment. Si je ne suis pas proche de ma famille, c'est à ma soeur que je parle le plus régulièrement. Il est bien loin le temps où je m'amusais à arracher la tête de ses poupées et cracher dans ses assiettes. Après son divorce, elle a décidé d'emménager avec moi et est donc devenue ma colocataire. Nous ne parlons pas beaucoup tous les deux, mais notre relation fraternelle est devenue calme et chaleureuse. Les seules fois où le ton monte entre nous, c'est lorsqu'elle me reproche de fumer. C'est une habitude que j'ai depuis le lycée et dont je ne suis pas capable de me défaire. En fait, ça ne me dérange pas outre mesure. Je ne lui reproche pas d'être lunatique au travail alors que j'aime le professionnalisme, donc je me dis qu'elle n'a pas à me faire la moral pour une chose aussi futile.
Niveau professionnel justement, je travaille au même endroit depuis cinq ans. J'ai ai trouvé une amie chère à mes yeux, se prénommant Juliet. Notre relation est houleuse, en quelque sorte. Si au départ, elle ne paraissait pas me porter dans son coeur, nous avons rapidement fraternisé. Elle semblait dégoûté par mon agissement de dragueur manipulateur, mais suite à mon premier plaidoyer, elle a semblé changer d'avis à mon sujet. Pour un spectateur assistant à nos discussions, nous devons ressembler à deux bipolaires. Têtus, il nous arrive régulièrement de nous crêper le chignon pour un rien et nous lancer des bêtises au visage. Rien de bien étonnant seulement voilà, une fois le ton monté, il redescend toujours en un clin d'oeil, comme s'il ne s'était jamais rien produit. La majorité de nos disputes tournent autour de son mari et des mes nombreuses aventures sans lendemain. Elle prône être heureuse en ménage alors que je déteste son mari. Sa tête ne me revient tout simplement pas et je vois en lui l'ex-mari de ma soeur. Voyez-vous, si Brianna a décidé d'emménager avec moi, c'est que son fiancé la trompait avec son professeur de yoga. J'ai l'impression qu'il en est de même du mari de Juliet et j'essaie de lui faire entendre raison puisqu'elle n'est pas qu'une bonne collègue à mes yeux. Si je n'ai pas eu le courage de dire à Elena qu'elle me plaisait au temps du lycée, il en est de même aujourd'hui. Juliet me plait bien, mais je ne me résous pas à faire un premier pas puisque je me voile la face. Un jour je me couvains qu'elle n'est qu'une amie à mes yeux et le suivant, je me surprends à la fixer, sourire en coin. Peut-être qu'en étant présent pour elle et en lui démontrant que son mari est un charlatan, elle me remarquera qui sait? En attendant, je l'insulte lorsqu'elle parle de lui et je me défends autant que possible lorsqu'elle mentionne mes dragues incessantes.
Dernière édition par Adrian Blackheart le Lun 22 Sep - 17:13, édité 17 fois
Date d'inscription : 09/09/2014 Messages : 125 Pseudo/Prénom : david Avatar : francisco lachowski Crédits : london jukebox Âge : 19 ans Études/Métier : high school student, senior
Sujet: Re: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Mer 17 Sep - 5:56
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Sujet: Re: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Mer 17 Sep - 9:50
Sujet: Re: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Jeu 18 Sep - 13:15
Superbe choix d'avatar Je regarde pas OUAT (c'est dans ma top-list à regarder mais elle est tellement immense que...) mais, je l'aime quand même Colin J'adore le pseudo aussi **
Date d'inscription : 11/09/2014 Messages : 64 Avatar : Jennifer Morrison Crédits : tumblr Âge : Trente sept ans Études/Métier : Avocate
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Sujet: Re: Neither irony or sarcasm is argument. (+) Adrian Jeu 18 Sep - 19:53
Merciiiiiiii merci merciiii Bienvenue bonne chance pour ta fichette et si jamais tu as la moindre question n'hésite surtout pas ma boite mp est ouverte